@ Léon
Avant de vous montrez si affirmatif et si dédaigneux vous feriez bien de vous renseigner quelque peu. Sarkozy est responsable des pertes de la CDC et je vais vous le prouver. En effet la majeur partie des pertes est due à deux investissements : Eiffage et Dexia, or c’est sur l’ordre de Sarkozy que la CDC a investi dans DEXIA (2 milliards). La CDC n’a aucune vocation a sauvé des banques de la perdition. Sa vocation c’est l’investissement à long terme et non de jouer aux pompiers. Il fallait pour cela créer une structure d’Etat adossée à un prêt.
Et cette information est donnée dans l’article pour Dexia . Voici ce qu’en écrit le Figaro et vous verrez que j’ai parfaitement raison. Pour l’ensemble des pertes du portefeuille qui représentent 3 milliards, 921 millions sont dus aux participations boursières mais l’essentiel à Dexia et Eiffage c’est à dire plus de 2 milliards (s’il n’y a qu’1,5 milliards de pertes c’est parce qu’il y a des bénéfices par ailleurs) : (’Figaro article cité) 921 millions d’euros parmi ces 3 milliards proviennent du portefeuille d’action de la CDC et 2,082 milliards sont la conséquence de ses participations dans Dexia (à hauteur de 17,6%) et dans BTP Eiffage (à hauteur de 20,1%).
Alors avant de jouer au donneur de leçons renseignez vous plus avant et lisez les articles associés. Dexia est de la responsabilité entière de Sarkozy qui a joué au sauveur du monde belge. Quant à Eiffage c’est sur ordre de Sarkozy avec l’intervention du fameux monsieur Pérol que la CDC a pris cette participation. En voici la preuve : Alors qu’un conflit oppose le groupe français Eiffage à la firme espagnole Sacyr, qui contrôle 33,32% de son capital, le secrétaire général adjoint de l’Elysée, François Pérol, ancien associé-gérant de la banque Rothschild, a finalisé un « deal » avec les Espagnols pour que leur participation soit rachetée par des investisseurs, dont la Caisse des dépôts et consignation (CDC). Cette interférence de l’Elysée dans une affaire privée – que l’intéressé conteste – peut susciter une controverse identique à celle qui a eu lieu autour d’EADS.
C’est une interférence élyséenne qui risque de faire des vagues. Alors qu’un conflit juridique oppose depuis près de deux ans le groupe français Eiffage à la firme espagnole Sacyr, qui contrôle 33,32% de son capital, le secrétaire général adjoint de l’Elysée, François Pérol, ancien associé-gérant de la banque Rothschild, s’est placé depuis plusieurs mois au cœur des tractations entre les deux sociétés. Vous avez peut-être manqué aussi l’épisode tonitruant où Sarkozy a dit que la CDC devait être le bras armé de la France dans les investissements. . Et si vous retirez les 2 milliards de ces deux investissements demandés par l’Etat c’est à dire 2 milliards de pertes la CDC aurait fait 500 millions de bénéfices, et ce malgré la crise, et ce malgré les 900 millions de moins value de son portefeuille autre que les investissements ordonnés par le Kondukator. Donc Sarkozy est entièrement responsable des pertes de la CDC.
Vous avez tout faux.