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Commentaire de Alain Michel Robert

sur La révolte des gueux


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Alain Michel Robert Alain Michel Robert 20 avril 2009 14:05

Et merde !!! j’ai cliqué par inadvertance sur « Non » au lieu de « Oui »… ce qui a mis l’article à 94 % de votes favorables au lieu des 100% qu’il mérite grandement. Toutes mes plates excuses à vous, Fergus.

J’y ai cru jusqu’au bout !... dommage… mais qui sait ?
Ma fille étudie dans sa classe de 2nd, en ce moment, La révolution française. Hier, elle vient me voir et elle me dit : « C’est bizarre comme cette période de 1789 ressemble à maintenant, on dirait que ce sont les infos d’aujourd’hui que je lis. »

Alors, pour voir, j’ai préparé avec elle son exposé, ce qui m’a permis de me replonger dans cette époque pré-révolutionnaire. C’est vrai que les similitudes sont très fortes ! Autant au niveau politique, qu’au niveau économique… mais aussi au niveau philosophique et technique avec l’arrivée de l’Internet qui bouleverse complètement la diffusion de l’information et donc qui met en péril tous les pouvoirs en place.

Ce « célèbre homme d’affaire » comme vous le nommez est peut-être entrain de vivre ses dernières grandes bouffes… avant de se retrouver « aux Tuileries ».
En tout cas, ça prouve l’inintelligence de ces pauvres clowns tristes et de leurs « pouf » en fourrure, parce qu’en période de climat social tendu ou la moindre goutte d’eau peut faire déborder le vase, la moindre des choses est de faire profil bas et de mettre son arrogance en berne.
Mais non ! ils ne peuvent pas s’en empêcher, leur crétinisme et leur suffisance sont plus forts qu’eux et les aveuglent… 200 ans d’Histoire ne leur a servi à rien… et, comme disait Sartre : ceux qui oublient l’Histoire sont condamner à la revivre une deuxième fois.

Chirac ne croyait pas à l’élection de Sarkozy, il pensait que les Français ne voteraient jamais pour un homme aussi « vulgaire » et qui, de surcroit n’a « aucun sens de l’Histoire », ce sont ces mots. Il s’est trompé. Mais là où il ne se trompe pas c’est lorsqu’il dit : « Il faut que Sarkozy se méfie de l’Histoire, ce vieux peuple français a le goût du sang. »


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