bonjour,
alors que faut il faire pour sauver l’éducation nationale ?
virer
les pédagogistes, les tenant de la méthode globale, semi globale, et
tout ce qui de prêt ou de loin veut négocier le savoir avec l’enfant
comme si son opinion d’ignorant compte.
imposer 50% d’effectif
masculin a l’école, et imposer une réelle laicité, c’est a dire
considérer que le féminisme et autres groupement de pensée clivant
et sectaire imposant une morale clientélisée au détriment d’un
autrui qui lui se doit d’être culpabilisé fonctionne comme des
religions sans avouer de culte et doivent d’être exclue de la sphère
scolaire.
imposer le licenciements des mauvais profs, dont
l’évaluation doit être annuelle et dorénavant passé par une entité
extérieur a l’éducation nationale, parce qu’elle prouve depuis des
années que sa domination et son statut de juge et partie sur la réalité du savoir
qu’elle transmet la rend propice a l’abus de faiblesse sur les
enfants, se contentant de valoriser leur égo, et a l’abus de confiance
des parents, véritable clients captifs d’une entreprise de
paupérisation intellectuelle de masse.
Imposer chaque année
un examen simultanée a l’ensemble des enfants d’une même classe, et
pour chaque classe, corrigé par ce même organisme externe, afin
d’évaluer rapidement où, qui, et pourquoi dans certain endroits de
France le niveau est plus faible, afin d’harmoniser par le haut sur de
véritable critère en matière d’acquis de savoir par les enfants.
Imposer
une échelle de notation qui ne prend uniquement en compte que le rendu
de l’effort intellectuelle de l’enfant, autant aux professeurs qu’aux élèves, afin de rendre la note non négociable sur des critères et
des suspicions d’ordre ethnique, religieux, social, ou d’appartenance
a tel ou tel réseaux capable de faire négocier une note.
Il
faut casser la logique de l’excuse et du « coup de pouce » parce que vous
comprenez sa situation familiale, etc... pour replacer la valeur de
l’effort intellectuel au centre de la pédagogie, et redonner sens au
savoir formel.
la gestion des mauvais élèves a partir d’une évaluation saine redeviens a adaptée sociologiquement et politiquement, mais pas
avant, par ce que comme on le fait maintenant, on a véritablement une école qui majoritairement exclus du savoir, et les acquis formels sont une catastrophe en sortie scolaire.
même pour
les écoles en dehors des zep malgré ce que les médias veulent nous
faire croire, ce n’est qu’un problème d’immigrés et de bandes en banlieue, mais pas du tout,
si vous prenez une matière comme la grammaire, faite évaluez les professeurs de Français en activité, vous vous rendrez
compte qu’ils sont une majorité a ne pouvoir enseigner ce qu’ils ignorent.
tant
que l’on a pas une règle du jeu claire et cohérente pour tous dans
une école réellement laique, elle n’est pas républicaine, de celle où
l’élève brillant d’un quartier difficile a sa chance de s’en sortir
par la qualité de son travail sur une grille d’appréciation
réellement commune aux français.
Mais cette école, personne
n’en veut, surtout pas les profs, elle sous entend sortir du rôle de la
gentille maitresse des excuses du cœur plein la bouche, pour être
capable d’assumer son savoir et le transmettre pour faire évoluer les citoyens
vers une vie d’adulte, conscient, avec un esprit critique en état de marche, et non des
consommateurs impulsifs et infantilisée, sans recours a la raison pour maitriser leur émotions.
amicalement, barbouse