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Commentaire de barbouse

sur Education nationale : un recteur avoue !


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barbouse, KECK Mickaël barbouse 22 avril 2009 12:59

bonjour,

alors que faut il faire pour sauver l’éducation nationale ?

virer les pédagogistes, les tenant de la méthode globale, semi globale, et tout ce qui de prêt ou de loin veut négocier le savoir avec l’enfant comme si son opinion d’ignorant compte.

imposer 50% d’effectif masculin a l’école, et imposer une réelle laicité, c’est a dire considérer que le féminisme et autres groupement de pensée clivant et sectaire imposant une morale clientélisée au détriment d’un autrui qui lui se doit d’être culpabilisé fonctionne comme des religions sans avouer de culte et doivent d’être exclue de la sphère scolaire.

imposer le licenciements des mauvais profs, dont l’évaluation doit être annuelle et dorénavant passé par une entité extérieur a l’éducation nationale, parce qu’elle prouve depuis des années que sa domination et son statut de juge et partie sur la réalité du savoir qu’elle transmet la rend propice a l’abus de faiblesse sur les enfants, se contentant de valoriser leur égo, et a l’abus de confiance des parents, véritable clients captifs d’une entreprise de paupérisation intellectuelle de masse.

Imposer chaque année un examen simultanée a l’ensemble des enfants d’une même classe, et pour chaque classe, corrigé par ce même organisme externe, afin d’évaluer rapidement où, qui, et pourquoi dans certain endroits de France le niveau est plus faible, afin d’harmoniser par le haut sur de véritable critère en matière d’acquis de savoir par les enfants.

Imposer une échelle de notation qui ne prend uniquement en compte que le rendu de l’effort intellectuelle de l’enfant, autant aux professeurs qu’aux élèves, afin de rendre la note non négociable sur des critères et des suspicions d’ordre ethnique, religieux, social, ou d’appartenance a tel ou tel réseaux capable de faire négocier une note.

Il faut casser la logique de l’excuse et du « coup de pouce » parce que vous comprenez sa situation familiale, etc... pour replacer la valeur de l’effort intellectuel au centre de la pédagogie, et redonner sens au savoir formel.

la gestion des mauvais élèves a partir d’une évaluation saine redeviens a adaptée sociologiquement et politiquement, mais pas avant, par ce que comme on le fait maintenant, on a véritablement une école qui majoritairement exclus du savoir, et les acquis formels sont une catastrophe en sortie scolaire.

même pour les écoles en dehors des zep malgré ce que les médias veulent nous faire croire, ce n’est qu’un problème d’immigrés et de bandes en banlieue, mais pas du tout,

si vous prenez une matière comme la grammaire, faite évaluez les professeurs de Français en activité, vous vous rendrez compte qu’ils sont une majorité a ne pouvoir enseigner ce qu’ils ignorent.

tant que l’on a pas une règle du jeu claire et cohérente pour tous dans une école réellement laique, elle n’est pas républicaine, de celle où l’élève brillant d’un quartier difficile a sa chance de s’en sortir par la qualité de son travail sur une grille d’appréciation réellement commune aux français.

Mais cette école, personne n’en veut, surtout pas les profs, elle sous entend sortir du rôle de la gentille maitresse des excuses du cœur plein la bouche, pour être capable d’assumer son savoir et le transmettre pour faire évoluer les citoyens vers une vie d’adulte, conscient, avec un esprit critique en état de marche, et non des consommateurs impulsifs et infantilisée, sans recours a la raison pour maitriser leur émotions.

amicalement, barbouse


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