Annie :
Vous êtes sûrement une personne respectable et pleine de bonne volonté, MAIS :
Vous oubliez une chose fondamentale, c’est que nous sommes tous des prédateurs !
Monsieur de La Fontaine vous direz que l’on peut faire cohabiter des loups et des agneaux, à une condition, rassasier les loups pour qu’ils ne croquent pas les agneaux.
Avec les problèmes actuels et de toutes natures, chômage, climat, etc. ouvrir les portes de la bergerie à tous les loups, sous prétexte qu’ils meurent de faim, c’est nous condamner à mort, nous et nos enfants.
Dans les années 1950, les Carabiniers ou Douaniers Italiens, après sommations, tiraient sur toutes les personnes qui tentaient de franchir la frontière. Les Douaniers Français en faisaient tout autant ! C’était majoritairement des blancs et des Chrétiens qui étaient tués et aucune famille des victimes trouvait cela anormal.
Ceux qui tombaient sous leurs balles étaient des trafiquants de tabac, de bétails ou d’autres marchandises, rarement des immigrés.
Alors le choix pour nous, c’est ou accepter toutes formes d’immigration sans conditions, car ils ont tous une bonne raison de venir chez nous ! Le résultat sera que la France deviendra le Liban de l’Europe, ou en revenir aux méthodes dissuasives des années passées et à l’immigration 0 !
Tout Chinois qui met les pieds sur le sol Français avec un visa touristique et qui demande le droit d’asile pour raison politique, ne peut plus être expulsé ! Le seul fait de l’avoir demandé, le condamne à être arrêté à sa descente d’avion dans son pays.
Si vous avez la vocation de subir et de faire subir à vos enfants ou à ceux des autres une guerre civile comme au Liban ou au Kosovo, personnellement, je m’y opposerais par tous les moyens.
Pour ce qui est des questions juridiques sur les droits des immigrés, la Constitution Européenne que notre Gouverneur a signée à Lisbonne, ne nous laisse qu’une étroite marge de manœuvre et ce que j’ai dit plus haut, ne peut être appliqué, sans dénoncer globalement tous les traités signés, inclus celui de Masstrich.
À mon sens, vous œuvrez pour la disparition de notre, et de vôtre pays et des quelques libertés dont nous pouvons encore jouir.
Bien à vous.