Commentaire de John Lloyds
sur Produit de banlieue : le nouveau marché de la révolte
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Les grands révolutionnaires comme le Che ou Mesrine ont toujours excercés une grande fascination sur le public. Le marché des produits dérivés s’est développé en conséquence. Que ce phénomène touche les petits révolutionnaires des banlieues me semble entrer dans une continuité naturelle.
Que cette publicité de zones de non-droit choque, je le comprends, mais je ne le déplore pas. Après tout, ces zones ne sont que l’oeuvre du parti unique français, l’UMPS, que les électeurs et leurs partis s’arrangent maintenant avec leurs créations. Que ces bandes fassent en plus leur promotion, je dois avouer que le spectacle est assez délicieux. Bon article, merci.
Derniers commentaires
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27/02 14:36 - mickael
Je dirais pas que le streetwear est une produit de révolte loin de là. J’ai vu et je vis (...)
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03/05 13:24 - Raoul Schol
Je m’interroge sur le but recherché par l’auteur à travers cet article. Est-on (...)
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03/05 11:55 - jaja
A lire certains commentaires je devrais être mort depuis longtemps.... J’habite Asnières (...)
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03/05 05:21 - TELQUEL
Les grands revolutionnaires le Che ou Mesrine ???? vous confondez icones et (...)
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29/04 15:04 - appoline
@ Barbouse, Il est clair dans ce pays que pour entreprendre, il vaut mieux utiliser les (...)
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29/04 09:36 - Marianne
Venez faire un tour dans nos campagnes et vous verrez que les groupes sectaires - comme les (...)
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