Le contrôle de la violence.

Ce que nous montrent les médias via la télé ou presse :

1-la violence c’est pô bien et qu’il ne faut pas se battre ni se disputer...sinon on coupe tout se qui dépasse...et tu n’a pas intérêt à moufter ou a apprendre à te défendre tout seul...si tu te rebelle à la maternelle c’est que tu as un mauvais gêne que les gentils docteurs n’ont pas (encore) vu quand tu étais encore embryon...alors si tu fais trop de bruit et bien on va te mettre à l’écart pour que tu n’embêtes plus les autres et que tu ne montre pas le mauvais exemple...

2-la violence on en a besoin pour chasser le vilain terroriste barbu (ou mexicains), ou le jeune anarchiste à cagoule, alors il faut donner plein de sousous pour faire fabriquer des armes et des missiles qu’on va lancer de loin sur les méchants terroristes barbus qui vivent far-far away...et contre les jeunes anarchiste à cagoule qui vivent ici, on va acheter pour les policiers des gros casques avec visières, des gros pistolets à balle en caoutchouc (comme celui de HellBoy), des grenades avec du gaz qui pique les yeux et d’autre qui font boum alors comme ça les jeunes à cagoule il ne peuvent plus voir, ni courir, et les gentils policiers peuvent les attraper facilement. Mais des fois le jeune anarchiste à cagoule qui a les yeux qui piquent et mal aux oreilles ne veut pas se laisser attraper alors le gentil policier doit (un peu) l’obliger à se calmer en utilisant son bâton.

N.B. : Les gentils policiers peuvent aussi utiliser leur bâton contre les méchants étudiants qui ne veulent pas aller à l’école ou les vilaines fifilles qui cherchent à se loger.

Alors tu vois il faut bien écouter ce qu’on dit à la télé et dans les vrais journaux où travaillent les vrais journalistes d’investigation qui font tous des articles « d’après agence »...et il ne faut surtout pas écouter ceux qui veulent désobéir...

Comme ça tu n’entendra pas les cris sourds du pays qu’on enchaîne...et tu es sous la « protection » de la police. Mais dès fois il y a un méchant policier qui dit des choses alors on ne le laisse pas dans la police.