En fait, j’avais prévu un petit passage sur le retour du virus durant l’hiver parce qu’il craint les coups de soleil, mais ce retour agressif ne cadrait pas avec le fil conducteur d’une recherche de circonstances atténuantes, parce que ça en fait un virus retors qui attend son heure. Mais c’est bien possible... espérons que ce délai nous permettra de disposer d’un vaccin.
Non, aucun lien entre sensibilité individuelle et les groupes sanguins.
Les races n’existent pas, tout simplement parce qu’on ne peut pas les définir : l’ADN d’une « race » ne peut être distingué de celui d’une autre. Par contre, ce que vous appelez races correspond soit à des ethnies, soit à des groupes culturels ou religieux. Et là encore, ce n’est pas facile à définir, un métissé est-il un noir ou un blanc ? Etc. Mais les ethnies, par contre, contrairement aux « races » indéfinissables, peuvent effectivement avoir des sensibilités différentes, des maladies plus fréquentes dans ce groupe, deux exemples :
la thalassémie
Luxation congénitale d ehanche (plus fréquente chez les Bretons, entre autres)
Chez l’homme comme chez l’animal, c’est la consanguinité qui fragilise les espèces, les ethnies, et les croisements qui les renforce en redistribuant le patrimoine génétique. Ca permet de faire circuler des gènes favorables à telle ou telle situation environnementale, de même que les espèces végétales locales (sélectionnées par la nature ou les hommes durant des siècles) semblent plus résistantes que les variétés produites par Monsanto à grand renfort de grosses têtes des biotechnologies. Ca doit être pareil pour les défenses immunitaires.