« L’économie est à la base
de la vie en société »
Je crois plutôt
que l’économie, est la conséquence de la vie, et de l’ activité
nécessaire à sa continuité.
A défaut
d’admettre cette simple réalité, on ne peut qu’aboutir à des
solutions bâtardes , qui ne résolvent rien. Je crois, qu’avant même
d’envisager un début de solution, il serait bon d’aller au fond des
choses, et de remettre toutes les pendules à l’heure.
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L’économie
mesure l’activité de la société.
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L’activité
est généré par le besoin.
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Le repos
mesure la prospérité de la société.
En remettant les
« priorités » dans ce qui devrait être leur ordre
naturel, un grand nombre de problèmes « cruciaux »
disparaitraient définitivement .
Viser une société
de loisirs abordables pour tous, et se donner les moyens de la
réussir. Supprimer les activités inutiles et énergivores, les
emplois subventionnés, et répartir entre tous les jours chômés
payés.
Cela aurait une
toute autre gueule d’ être compétitif, par le niveau et la qualité
de vie de ses citoyens, que par le coût de produits inutiles, parce
que éphémères, jetables et encombrants.
Bien évidemment,
il faudrait plus qu’une main invisible, pour traquer et réduire l’
enculerie, lorsqu’elle se cache sous des épithètes courantes .
Il faudrait de la
volonté, qui doit bien exister quelque part, et des lois simples qui
appellent un chat : un chat, et des lois qui empêche qu’on fasse des
lois qui créent des besoins imaginaires et artificiels.
Ce qui soulève un
autre problème, qui est l’accès aux leviers de commande, et comment
y accéder sans subir la corruption ?
Dans le contexte
actuel, ce problème est insoluble.
La solution, est
entre les mains des citoyens. Ils doivent se ré approprier le nerf
de la guerre, et reconstruire la démocratie par la base. Créer les
structures nécessaires à leurs besoins, et couler s’il le faut,
celles qui leurs sont nuisibles, qu’ils s’ agissent des banques,
assurances, commerces, entreprises .
Que ceux qui se
rêvent en élites, se démerdent entre eux, et gouvernons nous entre
nous !
Ce pourrait être
la première pierre à un début de solution.