Bonjour,
pendant un moment, court, pendant la campagne 2007, on pensais que le centre c’était ni droite ni gauche, anti umps, pour finalement percuter que le centre c’est « un peu des deux » avant de passé à la tendance « le meilleur équilibre possible entre les deux ».
Une petite touche d’humain à nouveau au coeur de la politique avec une pointe de gaullisme et de nationalisme qui se prolonge vers l’europe.
Le « mou » du centrisme viens du fait que dans son logiciel de dialogue équilibriste, il est écrasé à la moindre notion d’affrontement, et souvent plie tel le roseaux, perd des élus vers la gauche ou la droite en fonction des carrièrismes, et n’a fait jusqu’a présent qu’office de voiture balais à politique qui en début de carrière n’arrivaient pas a faire un choix entre la gauche ou la droite.
la vague et l’intérêt du centrisme de notre période tiens surtout sur l’absence d’affrontement gauche droite, avec une gauche alliée objective de la déliquance et une droite alliée objective des patrons voyoux, une société ou le crime paye dans tous les cas.
et sur le profil d’un bayrou plus supportable en président que beaucoup d’autres candidats potentiel pour le job.
Pas forcément le meilleur, surtout en débat contradictoire comme l’a montré Coppé, mais au profil plus apaisant, ou de moindre mal pour une France décomposée.
Aussi, être centriste, selon moi, c’est croire que l’on peut changer le systeme par le centre, idéalement pensée en terrain de concensus national entre les forces en présence, sur une notion d’intérêt souverain de la nation. Mais personne ne veut de concensus, chaque camps veux gagner, et toutes les forces ont leur propre vision de l’intéret souverain de la nation qui est forcément le meilleur.
amicalement, barbouse .