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Commentaire de Nycolas

sur L'abus de pédagogie peut nuire à la démocratie !


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Nycolas 11 mai 2009 17:49

Le délire de persécution, maintenant... vous m’accordez un peu trop de pouvoir... C’est vous qui me disiez que « il ne faut pas avoir peur de la vie ainsi » ou quelque chose comme ça, parmi vos insinuations, attaques personnelles déguisées en appel au débat. Appliquez donc vos conseils à vous-même.

J’avais dit que je ne répondrai plus, mais vous vous acharnez dans vos accusations sans fondement et vos attaques personnelles déplacées. Ca tourne au ridicule le plus complet. Là je ne réponds que parce que je ne vais quand même pas vous laisser m’accuser sans rien dire, comme vous le faites désormais depuis un moment, sous couvert de m’appeler à débattre. Vous n’avez jamais voulu entendre mes réponses... quel intérêt aurais-je à poursuivre le débat ? Vous semblez vouloir me faire changer d’avis. Encore faudrait-il pour cela qu’un de vos arguments m’ait semblé pertinent en ce sens... Mais vous semblez surtout vouloir entendre ce qui vous arrange. Sachez que je suis désolé de ne pouvoir vous satisfaire sur ce point.

Allez vous encore m’insulter pour me forcer à répondre ? Allez-vous me redemander une énième fois les mêmes choses dans l’espoir d’entendre une réponse différente ? Ne pouvez-vous vous satisfaire de notre désaccord, au lieu d’en venir aux procès d’intentions et à des accusations aussi fantaisistes ? La contradiction et les désaccords font partie des contraintes du débat, on ne peut pas forcément arriver à un accord, et je suis bien désolé de devoir énoncer ce truisme pour expliquer cette situation. Le consensus ne doit pas être la conclusion nécessaire d’un débat, tant le consensus est le corollaire de la pensée unique. Pour ma part le fait que nous restions en désaccord ne me dérange pas. Ce qui me dérange, c’est que vous le preniez de cette manière.

Monsieur, je ne cherche pas à vous nuire, je ne cherche qu’à défendre un point de vue. Aucune vie ni aucune réputation personnelle n’en dépend. Le fait que vous fassiez visiblement de cet échange une affaire personnelle me semble résolument déraisonnable et complètement excessif et hors de propos.

Ceci étant dit, vue la longueur de notre échange, et votre manière agressive de me questionner et de me répondre, j’ai de moins en moins d’espoir que celui-ci redevienne raisonnable, d’où la volonté plusieurs fois exprimée d’y mettre fin, volonté que vous ne respectez pas, du reste, tout en insinuant que je ne cherche qu’égotiquement à avoir le dernier mot, alors que vous même me provoquez constamment de vos accusations et insinuations afin de me forcer à répondre. Je pense que vous devriez vous demandez si quelque part vous ne vous complaisez pas dans ce rapport de force que vous dénoncez, et qui pour ma part me déplait au plus haut point. Je n’ai aucun plaisir à devoir répondre sempiternellement à vos tentatives de me stigmatiser (« vous n’êtes pas bien compliqué », « vous êtes à l’envers », « vous êtes dangereux », « vous avez peur de la vie »... c’est bientôt fini vos attaques ad hominem, sans rire ?) et de me décrédibiliser. Vous semblez vouloir me culpabiliser ou je ne sais quoi, par votre dernier message, en prétendant que je porte atteinte à votre réputation. Menacez-moi de représailles judiciaires, tant que vous y êtes. Sachez que ça ne marche pas avec moi. Je suis là pour débattre, pas pour en venir aux mains avec quelqu’un qui cultive la mauvaise foi et semble manier la stratégie de l’attaque du messager. Peut-être avez-vous un conflit d’intérêt avec mon article ?

Si vous ne changez pas de ton, ni ne renoncez à faire de notre échange un règlement de compte personnel qu’il n’est pas et ne doit pas être, je serai au regret de laisser votre prochaine réponse au silence. J’estimais ces dernières mises au point nécessaires, afin de ne pas vous laisser vous répandre en accusations infondées.


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