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Commentaire de Aurélien Péréol

sur L'abus de pédagogie peut nuire à la démocratie !


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Orélien Péréol Aurélien Péréol 12 mai 2009 19:42

Vous ne faites que bâtir le discours de l’autre comme ennemi, comme imbécile... pour ce résultat, vous falsifiez ce discours considérablement.
Vous répondez à l’idée que vous vous faites de ce que je dis et l’idée que vous vous faites de ce que je dis n’a rien, mais absolument rien à voir avec ce que je dis.
Vous répondez comme si je vous proposais le contraire exact et sur tous les points de ce que vous dites.
C’est ça qui m’intéresse (jusqu’à un certain point tout de même) dans nos échanges.
Tout se passe comme si, à partir du moment, où je ne vous encense pas, où je ne vous demande pas de m’expliquer mieux ce que vous dites, je suis entièrement contre vous (à l’opposé). Tout se passe comme si votre point de vue était le seul possible et que ne pas le partager était se placer du côté du gouvernement, et de ce que vous appelez « abus de pédagogie », volonté de nuire à la démocratie... puisqu’il n’y a pas d’autre point de vue.
Un autre copié-collé de vos commentaires : « Pour vous il n’y a pas de danger à ce que le gouvernement prenne les gens pour des imbéciles en voulant leur inculquer sa façon de voir sans écouter la réponse du peuple ? Fort bien. »
C’est insensé. ça n’a aucun sens. C’est fou.

Que vous supposiez que je craigne que vous me fassiez mal est ahurissant ! Avec cette idée du colportage de ce que je n’ai pas dit, j’ai voulu montrer un danger qui pourrait exister, je n’ai pas craint que ce danger arrive ! Ne dites pas aux autres que je ne verrais « pas de danger à ce que le gouvernement prenne les gens pour des imbéciles en voulant leur inculquer sa façon de voir sans écouter la réponse du peuple » Parce que cela n’a rien à voir avec ce que je pense, ni avec ce que je vous ai dit et qu’ils pourraient croire que je le pense et que je l’ai dit.

Vous n’avez pas capté les questions que je vous ai posées.

Je savais bien qu’avoir le dernier mot vous est indispensable : 
« je serai au regret de laisser votre prochaine réponse au silence. »
Je ne vous infligerai pas ce regret. C’est donc à vous. (Mais moi je suis lassé et j’ai assez vu ce que j’avais à voir et que j’ai décrit plus haut)


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