@ Tous
Pour commencer, voici copie du mail que j’ai envoyé il y a quelques minutes à la Rédaction : "Bonsoir,
Exténuée, à bout de nerfs, moi qui avais préparé mon article pendant des semaines et espérais très sincèrement qu’un débat de qualité aurait lieu en cas de publication, j’ai le sentiment que ton mon travail est réduit à néant, comme le sont la plupart de mes commentaires, comme tout ce que fait et dit Marsupilami, mais aussi Pierre R, homme sage et mesuré qui a disparu, Marie-Pierre, et maintenant Marc, Thomas Roussot, et de nouveaux rédacteurs, et tant d’autres.
Chaque fois que vous rétablissez les votes, la furie reprend et West exulte.
C’est insupportable.
Répondez-nous.
Merci.
Cosmic."
Pour continuer, je dirai que les ravages de West et son équipe barbare à cinq jours de la présidentielle, nous empêchant de débattre, sont plus graves qu’un simple attentat contre un auteur, en l’occurrence moi, mais ce « moi », s’il existe bel et bien, je vous le dis à tous et certains me connaissent en chair et os s’il fallait le confirmer.
Ma boîte mail explose sous la pression.
Et je n’y lis qu’attaques malsaines et déceptions.
Ainsi Milla m’a prévenue qu’elle s’était désinscrite.
Ainsi Bill et Cambronne songent à quitter Agoravox.
Ainsi mourrait ce projet auquel nombre d’internautes étaient attachés ?
Je remercie tous ceux qui m’ont réchauffé le cœur avec quelques phrases ma foi réconfortantes (Romain, CC, Maquette, Marie-Pierre, Fouaidreden, Docdory, et d’autres, excusez-moi, je reçois trop de mails).
J’ai connu Agoravox grâce à la qualité des articles et commentaires de Patrick Adam. J’y ai ensuite rencontré mon amour du cyberespace Marsupilami. J’y ai échangé des idées avec des internautes désireux de débattre et d’enrichir leur pensée.
Je constate aujourd’hui, à l’occasion de cet article que je souhaitais utile, que le journalisme citoyen est soumis à la loi du plus bruyant et du moins pensant.
J’enterre mes dernières illusions.