Le Petit Flic parvient à me mettre de méchante humeur un dimanche matin, et je déteste ça.
Le Petit Flic copie ce qui l’arrange, et ses morceaux choisis ne comblent que le besoin irraisonné qu’il a de justifier sa moralité publique, laquelle morale trouve à s’appuyer sur les poubelles de l’agora. Il pourrait candidater dans la presse people, peut-être ? La puanteur des sources y serait fort appréciée.
Le Petit Flic ne supporte guère que l’on tienne tête aux fous furieux dont l’un a été banni du site tant son comportement à l’égard des internautes était admirable, et dont l’autre a réuni contre lui à peu près l’intégralité des auteurs pour des raisons identiques. Mais le Petit Flic aime à victimiser les harceleurs, et à condamner Cosmic.
J’ai bien fait de créer mon parti. Le Petit Flic serait-il mon attaché de presse ?
Quant aux condamnations supposées du Petit Flic lors des débordements d’antisémitisme décomplexé qui adviennent quasi quotidiennement sur ce site depuis deux ans et contrairement à ce qu’il prétend, j’ai plutôt toujours vu le Petit Flic me courir sur les talons ou ceux de Florentin Piffard lorsque, de concert, nous nous révoltâmes, moi, considérait le Petit Flic, en tant que « ultra-sioniste d’x-droite » (oui, il a longuement tenté de prouver mon extrême-droitisme, puis mon ultra-sionisme, mon narcissisme, mon capricissisme, mon viragisme, mon insultisme, mon racisme, mon islamophobisme, mon vacuitisme...), et FP en tant que sombre intégriste catholique empêtré dans sa soutane de souteneur de pédophiles et de criminels historiques.
Le Petit Flic ne sait pas lire, COLRE. Il ignore les réponses que, patiemment, j’ai dû lui fournir sous peine de voir défiler l’intégralité de mes commentaires en archives sur son disque dur. Et lorsque je lui rappelle que Soral tient lui-même beaucoup à rappeler qu’il a passé dix ans de sa vie au PC, le Petit Flic prétend que j’en fais l’emblème de ce parti.
Mais le Petit Flic ne me condamnera pas à passer ma matinée en sa pénible compagnie, quoi qu’il tente désormais pour prouver que je suis un être innommable, cachant sous des airs républicains un anti-communisme insupportable et un couteau entre mes dents médiatiques.
Mon parti m’attend et j’ai reçu une proposition que je dois étudier.