D’accord avec vos arguments,
mais, bien des alternatives auraient pu se développer et enrichir
la palette de la concurrence et de la comparaison rendue ainsi
possible. Le plus révélateur de ce totalitarisme général, et malgré les
débats soutenus et l’accord accepté en final, est l’absence de la
publicité comparative.
« cette
forme de communication est autorisée en France depuis plus de
dix ans
par la loi du 18 janvier 1992, modifiée en 1997 à la suite de
directives européennes. Le régime actuel de la publicité comparative
est précisé par l’ordonnance du 23 août 2001 transposant la directive
européenne de 1997.
Publicité
autorisée mais surtout publicité très encadrée ! Tous les coups
ne sont
pas permis. La loi définit strictement les conditions de licéïté de
ce
type de publicité en précisant qu’elle doit être loyale, véridique et
permettre une comparaison objective. »
Celle-ci
hésite à s’engager, sachant que seule, une justice proportionnée
garantit aux petits de résister aux gros. Car, seules les entreprises
les plus puissantes peuvent s’entourer de cabinets d’avocats dévorants. Pour le moment, le seul argument exploité jusqu’à la limite sans cesse repoussée d’un poil de plus, est le corps de la femme, et même ses attitudes sexuelles. C’est ce qui scotche le client sur son écran au détriment de toutes autres information.
D’ailleurs, ce matin, j’ai édité un texte que j’ai retrouvé sur mon vieux disque dur. Le mot clé, c’est « sexy ». depuis deux heures, 348 personnes l’ont déjà lu...