Soral, [...]n’a de cesse de clamer actuellement son amour pour l’Islam, sur son site, même s’il est hors de question pour lui de se convertir.
Il accepte probablement avec joie la dhimmitude (condition de sous-homme), proposée par le Coran, pour les incroyants dans la société qu’il impose d’instaurer partout.
Merci de dire enfin toute la vérité sur ce triste Monsieur Soral, qui doit sûrement faire ses prières vers la Mecque en douce. Vous avez fait là une analyse brillante, sans mensonge ni mauvaise foi, et vous dévoilez l’entière vérité dans sa lumière la plus pure. Bravo !
En effet l’artiste, reconverti en politique, compte dans son groupe tant catholiques, [...] que musulmans « au pied de la lettre », dont une femme ostensiblement voilée, volontairement soumise.
Encore une fois bravo de souligner cela. Mais vous oubliez de préciser à qui est soumise cette femme bafouée dans sa dignité : à Dieudonné, à Soral, aux musulmans intégristes ? Peut-être aux trois à la fois, allez savoir. Le calvaire quotidien de cette femme ne doit pas être des plus réjouissant, obligée de réciter des passages de
L’Abécédaire de la bêtise ambiante sur son tapis de prières, en direction de la Main d’Or...
« Oui, nous le pouvons », traduction littérale du « Yes we can ! » d’Obama, candidat soutenu et financé aux USA par le lobby sioniste, est le slogan de son nouveau parti.
Incapable d’imposer une formule originale, incapable de s’affirmer différent Un passage des plus savoureux qui prouve que vous avez tout compris à Dieudonné : il a copié le slogan d’Obama ! Heureusement que la sagacité de certains veille au grain, on aurait pu se faire avoir sans ça...
Dieudo n’est certes pas antisémite, mais Dieudonné est assurément devenu sioniste.
Aaaaaarghhh !!!! Non mais enfin...non ! J’ai arrêté d’applaudir à cette dernière phrase, qui révèle l’antisionisme de l’auteur, donc son antisémitisme (est-il besoin de le préciser ?). Il y a donc des antisionistes antisémites antiDieudo ? Alors que Dieudo est lui-même antisémite ? Je ne comprends plus rien, c’en est trop pour moi.