ça va être rigolo avec Borloo ou le président des pingouins, j’ai nommé Rocard... pour Allègre, il n’y a pas de réchauffement climatique...
écrir fin mai 2007 :
« Dans une interview à « Libération », Claude Allègre revient sur ses visites récentes au QG de Nicolas Sarkozy, confirmant l’offre d’un ministère et une vision de la politique assez particulière (comme « vendre un projet à Jospin »). Avec Claude Allègre, venu lui aussi assez tôt au bassinet, Nicolas Sarkozy n’était pas vraiment aidé. Allègre possède cette capacité rare à prendre martel en tête sur des sujets les plus divers, à se convaincre lui-même de ses dires pour mieux tenter de les régurgiter après auprès du public. Parfois par intérêt, parfois par méconnaissance. Sa suffisance lui permettant de tenir les deux avec le même aplomb. C’est sa grande force, mais c’est aussi pour ça qu’il sait se montrer parfois ridicule. Et l’exposition actuelle de sa vindicte à l’égard de la direction du PS n’et pas faite pour aider ce PS auquel il estime encore devoir adhérer. Mais cela, M. Allègre s’en fiche. Il se prend pour celui qui a tout compris (seul !) depuis trop longtemps maintenant pour vouloir changer de personnage. Claude Allègre joue tout seul dans la catégorie dinosaure politique, en réalité. Sans s’apercevoir que le météore Sarkozy vient de tomber à côté de lui. »
un intelellecuel ? « Ce que n’est pas non plus Claude Allègre, jargonneur et bonimenteur, voire bateleur scientifique moderne, vulgarisateur déguisé en »intellectuel authentique« . Persuadé d’être le phare scientifique éclairant le peuple, le puits de science où un président va plonger son seau, obligatoirement. Lui nous paraît aujourd’hui plutôt... cuit. Complètement cuit ».