Ouh là, bon diagnostic, très
mauvaises solutions.
Une fois que vous aurez dissous
tout le tissu caritatif et qu’après la salade au chèvre chaud, le Magret de Canard
et un chaud-froid aux pommes le tout salué par un petit Burp de satisfaction, vous
attendiez face à votre télévision pendant … quelques jours, le séisme politique
qui devrait en découler. Ils font comment pour manger les précaires ?
Car de quelques jours, mon petit
doigt me dit que ça va aller chercher vers les quelques mois puisqu’ils n’en
ont rien à cirer les politiques de qui a mangé à sa faim.
Au mieux, ils redéploieront les forces
de l’ordre pour prévenir tout risque d’atteinte à l’ordre public et Basta !
Vous avez le choix entre
plusieurs moyens de pression sur les politiques, dont un qui s’appelle, le
bulletin de vote. Les précaires eux, n’auront comme d’autres choix que de vous
avoir vous, comme preneur d’otage supplémentaire.
J’appelle contrairement à vous, tous
ceux qui le peuvent à donner et tous ceux qui le veulent bien, à inciter les autres
à donner, que les politiques fassent leur boulot ou pas.
PS : Parmi les associations caritatives,
il en est qui paient au SMIC local (de quoi subvenir à ses besoins pas un sou
de plus), des enseignants bénévoles qui passent des séjours de deux ans en Asie
et ailleurs. Offrant gratuitement toute une tranche de leur vie à des enfants
qui ne verraient jamais sans eux l’ombre d’un bâton de craie. Vous ne verrez
jamais ces enseignants faire leur auto- promotion et s’auto- flatter l’ego à la
télévision, la seule rétribution qu’ils demandent c’est de voir évoluer vers un
peu de savoir leurs enfants.
Alors on fait quoi pour ces gens
là, on les interdit aussi pour obliger les dirigeants du tiers monde à donner l’accès
au savoir à tous ?