« Mais, au-delà de ces
querelles de clocher idéologiques, il semble possible, dès à
présent, de remonter à la racine de cette crise systémique, vers
ce « péché originel » de notre civilisation moderne qui
englobe et dépasse ses reflets partiels que sont le libéralisme, le
communisme et autres avatars issus des Lumières : l’Idéologie
du Progrès continuel. »
Ben, mon vieux, il fallait le faire !
Ce n’est plus l’intervention à outrance des états qui est cause de
la crise, Non, c’est l’idéologie du Progrès continuel.
Limiter la durée de vie des objets, pour en vendre 5 au lieu d’un seul, les imprimantes qui se déclarent hs a 3000 impressions, les produits que nous sommes sommés d’acheter sous peine de poursuite, l’argent que l’on nous prend, celui que l’on nous loue, la spéculation, le poids de la finance, oubliés, envolés, disparus.Reste le progrès.
Trop fort, Victor !
Autant dire, qu’il n’y avait rien à faire, puisque la source de nos
déboires est née avec l’humanité.
Comment ne pas croire les évangiles de la main invisible, capables
de chier des savonnettes parfumées, mais innocents démunis face au
péché originel.
Depuis que le monde est, les décideurs se sont cassés la tête
pour savoir quel type de progrès était souhaitable et cela s’est
traduit par l’octroi de droits nouveaux.
Comme cela, tout simplement, sans cri, sans fureur. On en rêvait,
les décideurs l’ont fait.
Je n’ai pas lu jusqu’au bout, problème de lassitude, ça ressemble
tellement à du déjà lu, que j’ai calé, et sauté à la fin.
« L’idéologie
d’une civilisation n’est que la représentation du monde de son
élite dirigeante. »
Oui, une très bonne raison pour la remettre à sa place, en
commençant par les plus nuisibles de ses inutiles : Les financiers.
Sinon, c’est assez cocasse, de recevoir une telle leçon d’un expert
financier