Décurion,
Vous êtes décidément désobligeant et à la limite de la mauvaise foi.
« La différence majeure entre vous et moi, entre mes formules à l’emporte-pièce et vos citations référencées, c’est que j’ai recours à mon intelligence, et vous à votre mémoire. etc etc. »
C’est un peu réducteur, quand même ; mon intelligence m’a servi pour comprendre les positions, réflexions et argumentations des différents auteurs ou experts que j’ai lus, et faire le tri entre ce qui me paraissait valable et ce qui me paraissait erroné ; ce tri étant lui-même fortement influencé par ma propre expérience, éducation et plus largement personnalité. Le recours à des citations, vous ne l’ignorez pas, c’est avant tout un procédé rhétorique, une forme de communication, quoi ; et aussi une forme de modestie, la reconnaissance que d’autres, bien avant moi et bien mieux que moi, ont déjà réfléchi à ces sujets.
Alors que vous, vous prétendez, sorti de nulle part, avoir tout compris par votre seul génie et détenir la vérité ?
« Vous êtes si peu apte à utiliser vos neurones en dehors des ornières admises, que vous êtes incapable de me lire correctement. »
Vous êtes insultant. Par ailleurs je n’ai pas le sentiment que vous n’ayez vous-même parfaitement compris cet article, que vous n’avez sans doute toujours pas lu en entier, votre première remarque dans votre première réaction étant l’exact opposé de la thèse de l’article.
A part ça, en quoi vous ai-je mal compris ? Si c’est le cas je m’en excuse, merci de me réexpliquer.
« Pour le reste, que vous soyez maître ou valet dans votre confrérie, comme dit Gaston, ça me touche pas les roustons. »
Enfin, vous voulez vraiment que j’appartienne à cette « confrérie », cette « profession », on vous entend presque dire cette « secte » des financiers. Fort bien, je vous laisse à vos fantasmes et à vos simplifications, qui ne sont pas particulièrement révélateur d’une grande subtilité dans la compréhension du réel. Qu’’importe !
Sur le fond, votre conception de la vie est tout à fait respectable et je n’ai pas dit que, d’une certaine façon, je n’y adhérais pas. C’est dommage que par votre ton et vos noms d’oiseaux inutiles vous découragiez le dialogue. Mais vous ne donnez vraiment pas envie de discuter avec vous.
Tant pis !
Over.