@ l’auteur
Excusez mon ton probablement excessif, mais c’était volontaire.
Disons qu’un discours comme le votre, il suffit de lire quelques « tribunes libres » dans de nombreux journaux, pour en croiser de multiples exemples. Je m’excuse, je ne le trouve pas original, constructif, et je le trouve terriblement « déclinologue » : vous pourriez être du Nicolas Baverez que ca ne me choquerait pas. Peut-être la comparaison n’est-elle pas à vôtre goût, mais après tout, c’est mon « ressenti », non ?
Dans la même veine je n’ai jamais dit que la France avait refusé la
mondialisation mais simplement qu’elle s’y était très mal prise en ne
réformant pas à temps ses structures d’où la casse sociale.
Eh bien, c’est ce qui arrive quand on prend un paradigme économique comme un principe idéologique et non pas comme une stratégie de développement...
Bref, je crois que nous sommes assez d’accord.
Cela se pourrait, sauf sur un article comme le votre : son ton est exactement celui qui conduit à considérer la France non pas comme un moteur d’idées et de propositions, mais comme un pays nombriliste. Exactement ce que vous dénoncez, non ?
la vie que j’ai aujourd’hui me comble au delà de tous mes espoirs
Eh bien, monsieur, je ne peux que vous conseiller, plutôt que servir un plat aigre qui n’apporte rien, d’écrire sur toutes vos réussites, et expliquer à vos jeunes concitoyens le moteur et les idées de vos réussites, et, non seulement votre témoignage, en toute franchise, sera passionnant, mais il deviendra peut-être une toute petite mais nécessaire impulsion pour notre culture française.
Cordialement, de même, et accompagné de quelques excuses