Votre article est tres interressant, je me permet d’ajouter qu’avant 2003 il etait d’usage chez les particuliers de demoustiquer pendant l’« hiver austral ». Le cout de cette demoustiquation revenait à 150 francs pour un petit jardin de 600m2.
Suite a des suicides par injestion du produit la DRASS l’a retiré de la vente au grand public, le reservant à la vente aux seuls agriculteur sur présentation de leur carte professionnelle.
Plusieurs personnes ont alerté la drass demandant que l’insecticide soit reconditionné [pré dilué] et laissé sur le marché.
La DRASS a répondu que les citoyens devaient désormais passer par des entreprise de demoustications, des Flytoxers « agrés ».
Le cout alors pour ce meme jardin de 600 m2 montait à 1500 FF, ce qui le mettait hors de porté de la population.
Cette cause ajoutée a celle de votre article [« la DRASS a supprimé 120 postes au sein du service de prophylaxie entre 1985 et 2005 »] fait clairement apparaitre une logique commerciale implaquable :
1/ on empeche le citoyen d’exercer une « coutume sanitaire ».
2/ l’état se désengage de ses fonctions.
Sans concurence possible les demoustiqueurs professionnels privé ont le champs libre pour mener leur activité.
Maintenant, et ce n’est qu’une piste journalistique, ne serait il pas interressant d’étudier la distribution des parts sociales de ces entreprises et de croiser les données avec l’organigramme du « Conseil Général » des 10 dernieres années ?
Question ouverte, réponses attendues.