Commentaire de Monolecte
sur Mourir d'aimer
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L’expérience n’est pas tout, même si elle contribue fortement à l’édification des êtres. Il y a aussi l’expérience du récit, celui que tu captes dans les histoires de famille, les bavardages de fin de soirée ou tout simplement dans un livre ou un film. Peux-tu nier la puissance évocatrice d’une œuvre sur celui qui la reçoit ? Peux-tu dire que l’art, quel qu’il soit, n’est pas justement un mode de communication, de partage émotionnel ? Il ne s’agit pas de vivre par procuration, mais d’agrandir sa propre palette émotionnelle à travers les expériences et récits des autres. Parce que nous ne pouvons pas tout vivre.
Entre l’expérience vécue et celle qui est acquise au contact des autres, nous développons aussi plus ou moins nos capacités empathiques, c’est dire l’aptitude de ressentir les émotions des autres. Tout le monde n’a pas la même sensibilité, mais tu ne peux non plus nier ce niveau d’expérience.
Derniers commentaires
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25/05 08:33 - Monolecte
On a fini par trouver un terrain d’entente, on dirait :-) A+
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24/05 23:40 - TALL
je ne le nie pas, monolecte, c’est un peu ce que je voulais dire par : ne pas binariser, (...)
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24/05 10:51 - Monolecte
L’expérience n’est pas tout, même si elle contribue fortement à l’édification (...)
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24/05 00:40 - TALL
Monolecte L’expérience émotionnelle est irremplaçable dans les domaines existentiels, (...)
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23/05 21:08 - Gül
@ Monolecte, Je ne veux surtout pas m’ériger en celle qui voudrait mettre des règles ou (...)
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23/05 21:00 - Annie
Ce à quoi j’ai pensé en lisant votre texte, ce sont les les vieux de Brel : « celui des (...)
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