Par la suite, morice a refusé de condamner des jeux de mots douteux, et il est un fait que ses meilleurs soutiens ne sont pas seulement antisioniste, mais carrément judéophobe. J’en veux pour preuve les propos négationistes de la shoah qui ont été postés sur ses articles et dont il a tout simplement refusé de condamner les auteurs. Morice au demeurant continue à discuter tranquillement avec efred qui nous a dans le passé pondu un joli jeu de mot qui aurait valu à un député de se faire lever son immunité parlementaire.
MENSONGES, je suis l’auteur ici de textes CONTRE le négationnisme... vous en revanche, on NE VOUS VOIT JAMAIS dans le forum venir les chasser comme je l’ai déjà dit : ce sont VOS AMIS... les Reynouard et compagnie, c’est une évidence Calito : jamais vous n’êtes venu sur ce genre d’articles pour les DENONCER.. lls vous plaisent trop !
extrait :
L’homme est en effet « viscéralement antisémite » comme le notait le procureur adjoint de Paris le 3 avril 2007, lors d’un énième procès intenté cette fois par Faurisson à Robert Badinter. Le 22 mai de cette année là, notre négationniste était débouté et condamné à 5000 euros d’amende. Faurisson devenait bien, selon le jugement, un « faussaire de l’histoire », phrase dont l’avait accusé Robert Badinter lors d’un débat télévisé précédent en rappelant un énième procès le concernant. Dans un précédent procès, qu’il avait gagné contre Faurisson, Badinter avait en effet, chose exceptionnelle, cité son propre cas :« J’avais 13 ans quand mon oncle a été arrêté au domicile que nous venions de quitter, en octobre 1941. Il a été dénoncé et envoyé à Drancy et, de là, a disparu. J’avais 14 ans quand ma grand mère parternelle a été arrêtée à son domicile par des policiers français sur ordre de Bousquet. C’était au début de l’automne 1942. Elle avait 80 ans. On l’a descendue dans une civière, envoyée à Drancy, déportée, et on n’a plus eu de ses nouvelles. J’allais avoir 15 ans quand mon père a été arrêté à Lyon... bien entendu, nous n’avons jamais eu de ses nouvelles. » Badinter avait conclu avec le souffle épique qu’on lui connaît : « Que les choses soient claires. Pour moi, jusqu’à la fin de mes jours, tant que j’aurai un souffle, vous et ceux de votre espèce ne serez jamais que des faussaires de l’histoire la plus tragique. » Faurisson, depuis est DEFINITIVEMENT un faussaire de l’histoire, donc. Et Badinter un homme bien admirable.
QUE LES CHOSES SOIENT CLAIRES, Calito : vous n’êtes jamais venu les dénoncer, vos amis...