Cher Paul,
C’est ça le pluralisme d’idées que je respecte en effet. Pas de problème.
Je ne sais si vous vous vous souvenez d’une époque révolue sur AV, celle d’un certain DW.
A cette époque, ce personnage m’avait à la bonne puisque j’avais pris sa défense contre la censure qui régnait et qu’il ressentait. Dès que j’ai parlé qu’il fallait restreindre le nombre d’articles pour ne passer une limite qui devrait être implicite, il a explosé et nous sommes devenus des ennemis jurés.
Nous divergeons, j’en suis fort aise mais, jamais mal à l’aise. Je suis moi. Les contestations, je les ai connues aussi. Je les ai toujours prise à leur juste valeur contructive. Je corrige mes articles, pas ceux des autres. Chacun est responsable de ce qu’il écrit.
L’information indifférente est la pire des informations. Elle doit être écclectique, l’information, analysée et je l’ai prouvé par mes articles. Jamais resté sur un sujet, ouvrir les débats plutôt que les refermer. C’est ma manière de travailler. La presse officielle s’est sentie en perte de vitesse, du moins chez nous, les articles d’analyses y ont commencé à remplacer les chiottes sans suites. Enfin, un peu de recul. C’est la seule manière de subsister aujourd’hui. Je n’ai fait que l’écrire récemment, mais vous n’y êtes pas venu, j’en suis désolé.
Cela ne veut pas dire qu’il faille tomber dans l’esprit « people ». Car il existe bel et bien, celui-là. Laissons là à la presse spécialisée.
Analyser la bonne matière, montrer comment fonctionne les paparrazzi, c’est en effet, une bonne approche. Je l’ai fait. Cela s’appelait il y a longtemps « Le scoop pour le scoop ».
Etre un fan d’Hallyday ? Là, vous toucher mon problème intime, je ne serai jamais fan de quiconque.
C’est dans ma nature de solitaire. Si j’ai choisi de manière générique mes articles « Réflexions du miroir » cela doit venir de quelque part.
Non, votre analyse n’est pas insuffisante, elle est seulement mal dirigée.
Je suis en permanence sur la réflexion « reprenez-vous » en leitmotiv, chez moi. Un Enfoiré, on ne nait pas en tant que tel, on le devient. Autant savoir. Je suis en train d’écrire une autobiographie. Ce ne sera pas triste, ou peut-être même trop triste, suivant l’angle d’attaque.
Bien à vous, je reste à l’écoute de vos article.
Guy alias l’Enfoiré