• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Cannes : un commando de photographes pour une photo infidèle d’un (...)

Cannes : un commando de photographes pour une photo infidèle d’un époux infidèle

Fascinante, la photo sur les marches rituelles du festival de Cannes qu’ a publiée Le Figaro.fr, le 22 mai 2009, dans sa rubrique « Arrêt sur image » ! Car elle ne met pas en scène pour une fois des stars dans leur tenue guindée d’apparat mais les coulisses de l’industrie médiatique qui fabrique ces produits et assure leur maintenance. Il n’est que de voir dans la quinzaine écoulée le matraquage médiatique, privé et public, qui n’a cessé de promouvoir le produit Hallyday.

 
Un paradoxe tonitruant

Ce qui capte, en effet, ici l’attention, ce n’est pas d’abord la variante d’argument d’autorité qu’est la séduction exercée par la star Hallyday : elle est reléguée dans un coin de la photo, et en plus vue de dos, écrasée par un angle de plongée. Ce n’est pas non plus le leurre d’appel sexuel du baiser qu’il échange avec sa femme : il est bien trop discret pour susciter la transe du voyeurisme. Non, c’est un paradoxe tonitruant : sous l’œil inquiet de vigiles, un groupe de six photographes posté en triangle a investi les marches mythiques du palais des festival et ravi la vedette aux stars du moment. Par intericonicité, leur posture a quelque chose d’ une action militaire : on dirait un commando qui, du canon de ses zooms, braque à bout portant en plongée les stars à leur merci et les mitraille. Le surplomb des photographes de face et l’écrasement de la star prise de dos par l’angle de plongée sont à eux seuls tout un symbole : au cas où la star l’oublierait, l’industrie médiatique peut lui rappeler à tout moment qui l’a hissée au firmament.

Une comparaison aussi paradoxale

Le vif contraste du noir des habits sur le fond rouge du tapis baigne ensuite la scène de la charge culturelle propre à ces couleurs. On a le choix pour le rouge qui est à la fois la couleur du sang, du pouvoir, du feu et de l’amour. Pour le noir, au contraire, tel qu’il est ici porté, on ne l’a pas : ce n’est pas ici la couleur de l’élégance mais plutôt celle de l’uniforme d’hommes de service, affectés à la sécurité privée voire aux pompes funèbres.

La comparaison avec des photographes de presse accrédités est-elle si paradoxale ? Ne sont-ils pas les auxiliaires de la pensée sécurisée ? « Qui maîtrise les images, maîtrise les esprits, » aurait dit Bill Gates, un expert. De quelle vie, en outre, ces journalistes sont-ils les embaumeurs en livrant une représentation stéréotypée du cercle des puissants dans leurs postures édifiantes répétitives ?

Un autre paradoxe

Qu’est-ce qui justifie, en effet, une telle mobilisation de la force de frappe médiatique, soit pas moins de six photographes ? Quelle photo originale du même sujet chacun est-il à même d’espérer ? Sur quel événement extraordinaire d’ailleurs ce commando se précipite-t-il pour que de toute urgence les citoyens en soient informés ? On est devant un nouveau paradoxe : tous ces moyens médiatiques aux performances technologiques prodigieuses ne sont déployés que pour enregistrer le baiser d’une star à sa jeune épouse de 33 ans qui pourrait être sa fille.

Est-ce au moins la capture d’ "une information extorquée" à l’insu et/ou contre le gré des amants ? Pas du tout ! Ils posent volontairement en faisant semblant d’être surpris par les photographes, selon le leurre de l’information donnée déguisée en information extorquée, pour donner plus de fiabilité à leur message : voyez, entendent-il signifier au monde, comme nous nous aimons ! Car le bruit court depuis longtemps que les amants sont au bord de la rupture : la jeune femme a elle-même alimenté la rumeur dans des magazines spécialisés, comme Gala, le 8 octobre 2008 : « Combien de fois j’ai failli me séparer de mon mari ? a-t-elle confié. Combien de fois j’ai failli partir ? », n’en pouvant plus de ses « infidélités ». Cette photo est donc donnée pour mettre un terme aux ragots, avec la fiabilité incertaine qui s’attache à toute «  information donnée ».

Les fonctions de l’information indifférente

Mais en dehors de cette promotion personnelle, quel autre intérêt peut bien avoir cette variété d’information ? Qu’on se détrompe ! Ayant en commun avec «  l’information donnée » d’être livrée volontairement par l’émetteur, cette «  information indifférente » en diffère par une visée stratégique qui échappe aux intérêts exclusifs des stars ici mises en scène. Elle a paradoxalement une grande utilité en raison même de sa nature indifférente, puisqu’elle ne contrarie les intérêts de personne. Elle remplit à ce titre au moins deux fonctions. Elle offre d’abord souvent des modèles : la star avec ses vêtements, son allure, ses tics ou ses lubies est en promotion constante pour susciter l’imitation de ses fans par réflexe d’identification. Elle permet ensuite une censure discrète : du seul fait qu’elle envahit les antennes et les colonnes de journaux, toute autre information, « donnée  » ou « extorquée », s’en trouve exclue, sans qu’on en ait conscience. C’est mieux que les colonnes blanches des journaux censurés de 14/18 ; ça ne se voit pas !

Une représentation infidèle de la réalité livrée par les médias

Avec cette disproportion entre les énormes moyens de diffusion mobilisés et la scène microscopique qu’ils rapportent, on tient enfin une belle métonymie de «  la représentation de la réalité » que les médias sont capables de livrer : celle-ci peut être très infidèle en faisant de rien ou de si peu quelque chose et d’un mari infidèle un parangon de vertu.

Une autre intericonicité vient du coup à l’esprit : les canons des téléobjectifs braqués sur ce baiser de stars ne font-ils pas penser à des télescopes tournés vers les étoiles ? À l’œil nu, celles-ci sont aussi invisibles que le sont les deux stars elles-mêmes. Il faut la puissance d’agrandissement des télescopes pour qu’elles deviennent perceptibles, tout comme une scène banale entre deux stars peut être magnifiée par la mise en scène photographique de l’industrie médiatique. Seulement celle-ci a ses limites : elle ne peut corriger le masque ravagé de Hallyday que, par contraste, la fraîcheur du visage de son épouse rend encore plus repoussant.


Une dernière intericonicité s’invite alors sans prévenir : on pense au film de Cocteau, « La Belle et la Bête », à ceci près qu’il est vain d’attendre que sous les traits de la bête le visage du prince charmant perce un jour. La Belle paraît bien en avoir le soupçon, en en juger par la métonymie de ses lèvres pincées qui ne se laissent approcher qu’avec réticence par les lippes goulues de la Bête . Est-ce le meilleur démenti que pouvait donner le couple à la rumeur ? Paul Villach






 
 

Documents joints à cet article

Cannes : un commando de photographes pour une photo infidèle d'un époux infidèle

Moyenne des avis sur cet article :  2.08/5   (37 votes)




Réagissez à l'article

47 réactions à cet article    


  • La Taverne des Poètes 28 mai 2009 10:42

    Battage de lieux communs éculés, exploitation opportuniste du festival de Cannes. Sans intérêt.

    L’article de trop de Paul Villach.


    • L'enfoiré L’enfoiré 28 mai 2009 11:51

      Salut Taverne,
       Je te l’ai toujours dit. Se payer un article, tous les 2 ou 3 jours, on en arrive toujours à une perte de vitesse. Tu ne m’avais pas cru à l’époque. En voilà, une preuve flagrante. Sauter sur l’actualité sans dormir quelques fois sur le sujet, c’est faire le journaliste à la con.

       Désolé, Paul, je suis obligé de soutenir Taverne. J’avais déjà renaclé avec l’article couverture du Paris-Match, comme si analyser une photo allait faire avancer le schmilblick.
       Mon cher Paul, reprenez-vous. Cannes ne passe pas par les photographes. De ce côté on s’en fout. Le contenu des films est bien plus important, comme vous l’avez fait pour la « Journée de la Jupe ». Ca c’est du bon Villach.


    • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 12:04

      @ Cher l’Enfoiré

      Nous divergeons sur ce point.
      Il existe une information dominante, « l’information indifférente » qui remplit à 80 % sinon plus les médias. Elle est paradoxalement d’une extrême importance, à la fois pour cet envahissement et pour son apparence inoffensive, car c’est elle qui nourrit de ses préjugés la grande majorité des citoyens.

      Alors libre à vous de la laisser sans objection, comme c’est l’usage.
      J’estime, au contraire, qu’il faut en montrer le fonctionnement.
      Si mon analyse vous apparaît comme insuffisante, complétez-là, corrigez-là.
      Puis-je à mon tour vous dire aussi amicalement : reprenez-vous ?
      Mais il est vrai que les fans du produit Hallyday ne peuvent tolérer qu’on touche à leur idole, piètre pastiche d’une sous-culture américaine. Paul Villach


    • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 16:53

      @ Sacré Léon

      Vous n’avez pu vous empêcher de venir faire votre petit tour ? J’apprécie ! Paul Villach


    • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 17:37

      @ Pauvre Léon
       
      Je me doutais que vous étiez un fan de cette créature aux harmoniques de matamore qui ne sait pas chanter, qui meugle des textes idiots, et qui a fait toute sa carrière en pastichant lamentablement ce qui peut y avoir de plus imbécile dans la sous-culture américaine ! Paul Villach


    • french_car 28 mai 2009 22:18

      Léon le problème c’est que Johnny est beaucoup trop jeune ! Villach a été élevé au biberon de Tino Rossi et Berthe Silva, le rock est une musique de sauvage. Ah qu’il était doux l’accordéon de Verschuren, n’est-ce pas Villach ?


    • L'enfoiré L’enfoiré 28 mai 2009 12:35

      Cher Paul,

       C’est ça le pluralisme d’idées que je respecte en effet. Pas de problème.
       Je ne sais si vous vous vous souvenez d’une époque révolue sur AV, celle d’un certain DW.
       A cette époque, ce personnage m’avait à la bonne puisque j’avais pris sa défense contre la censure qui régnait et qu’il ressentait. Dès que j’ai parlé qu’il fallait restreindre le nombre d’articles pour ne passer une limite qui devrait être implicite, il a explosé et nous sommes devenus des ennemis jurés.
       Nous divergeons, j’en suis fort aise mais, jamais mal à l’aise. Je suis moi. Les contestations, je les ai connues aussi. Je les ai toujours prise à leur juste valeur contructive. Je corrige mes articles, pas ceux des autres. Chacun est responsable de ce qu’il écrit.
       L’information indifférente est la pire des informations. Elle doit être écclectique, l’information, analysée et je l’ai prouvé par mes articles. Jamais resté sur un sujet, ouvrir les débats plutôt que les refermer. C’est ma manière de travailler. La presse officielle s’est sentie en perte de vitesse, du moins chez nous, les articles d’analyses y ont commencé à remplacer les chiottes sans suites. Enfin, un peu de recul. C’est la seule manière de subsister aujourd’hui. Je n’ai fait que l’écrire récemment, mais vous n’y êtes pas venu, j’en suis désolé.
      Cela ne veut pas dire qu’il faille tomber dans l’esprit « people ». Car il existe bel et bien, celui-là. Laissons là à la presse spécialisée.
      Analyser la bonne matière, montrer comment fonctionne les paparrazzi, c’est en effet, une bonne approche. Je l’ai fait. Cela s’appelait il y a longtemps « Le scoop pour le scoop ».

      Etre un fan d’Hallyday ? Là, vous toucher mon problème intime, je ne serai jamais fan de quiconque. 
      C’est dans ma nature de solitaire. Si j’ai choisi de manière générique mes articles « Réflexions du miroir » cela doit venir de quelque part.
      Non, votre analyse n’est pas insuffisante, elle est seulement mal dirigée.

      Je suis en permanence sur la réflexion « reprenez-vous » en leitmotiv, chez moi. Un Enfoiré, on ne nait pas en tant que tel, on le devient. Autant savoir. Je suis en train d’écrire une autobiographie. Ce ne sera pas triste, ou peut-être même trop triste, suivant l’angle d’attaque.
      Bien à vous, je reste à l’écoute de vos article.
      Guy alias l’Enfoiré 


      • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 14:38

        @ L’Enfoiré

        Cher Guy, je vous suis tout à fait pour l’esssentiel. Vous aurez remarqué que je ne vous confonds pas avec une certaine faune qui pollue le site pour le plaisir de le dénaturer.

        Peut-être avez-vous pu vous en rendre compte depuis que j’écris sur AGORAVOX : une de mes préoccupations est d’illustrer une théorie expérimentale de l’information par des exemples que me fournit l’actualité.

        Celle-ci distingue trois variétés d’information,
        1- « l’information donnée » qui est livrée volontairement par l’émetteur,
        2- « l’information extorquée » qui est obtenue contre le gré et/ou à l’insu de l’émetteur qui la refuse,
        3- et cette « information indifférente » qui envahit les ondes et les journaux comme je l’explique dans mon article.

        Je n’ai pas souvenir d’avoir vu ce type d’analyse où que ce soit. Voilà pourquoi je crois devoir la présenter, à la faveur de l’actualité, car elle est très éclairante.
        En ce sens, je ne crois donc pas que mon analyse soit mal dirigée. Elle ne peut apparaître comme telle que si on ne prend pas la mesure des dangers de cette « information indifférente » dont les fonctions justement passent inaperçues ; elle est affublée de qualificatifs méprisants (people - caniveau - frivole, etc..) par ceux qui prétendent défendre une information de qualité - qui reste à définir ! Et du coup son analyse serait d’avance disqualifiée ! Mais ces qualificatifs ne rendent pas compte de la nature de « l’information indifférente » et de ses fonctions. Et ne pas la critiquer, c’est lui laisser le champ libre.

        De même, la publicité qui n’est pour moi qu’ « information donnée » comme une autre - avec tout de même un savoir faire plus éprouvé peut-être de l’émetteur - ne doit pas rester sans objection.

        En revanche, je ne partage pas du tout le point de vue de ceux qui voudraient la suppression de la publicité, parce que c’est rigoureusement impossible. Toute « information donnée » est par nature une sorte de publicité, dans la mesure où elle obéit au principe fondamental de « la relation l’information » : nul être sain ne livre volontairement une information susceptible de lui nuire. Cordialement, Paul Villach.


      • L'enfoiré L’enfoiré 28 mai 2009 14:52

         

        Cher Paul,

        Merci pour cette appréciation. Pour tout ce qui est dit ici, je suis 100% d’accrord.

        Sur la publicité j’ai eu aussi mon article qui s’appelait « La séduction n’est qu’un jeu ».

        Texte que j’ai voulu le plus complet possible.

        Phénomène de société parfaitement nécessaire.

        Quand j’ai appris la décision de couper les publicités sur le chaînes publiques, je n’y ai rien compris au départ. Etait-ce une façon de plus de museler ce qui est public, pour ne laisser que le commercial à l’oeuvre ? Si vous avez une explication meilleure, n’hésitez pas.

        HADOPI même chose. On en a déjà trop parlé ici, mais c’est bien un plus gros poisson qu’il n’y parait à première vue. Une dérive, je dirais et qui cache de très mauvais coup et effets secondaires.

        Donc, cette fois d’accord sur toute la ligne.
        De toutes manières, je considère toujours la phrase suivante comme mienne « qui aime bien, châtille bien ».
        Bonne après midi
        Guy


      • brieli67 28 mai 2009 17:40

        INTERCO(r)NICITE sur Gazon mots dits
        http://www.youtube.com/watch?v=G85uubWcFtg

        Terribles les vachettes Salers
        de quoi rendre Reine-Claude von Münsterre very very jalouse
        http://www.youtube.com/watch?v=2SGigKwJ8R8

        Professeur Paul ! Devenez enfin plus bio-économique ! Le ciel et...
         Prof Léon vous rendront votre « ruminance » plus terre à terre.


      • french_car 28 mai 2009 22:21

        Léon c’est vous la faune pollueuse dont parle notre ami Villach ?


      • Lisa SION 2 Lisa SION 2 28 mai 2009 12:57

        Paul,

        j’ai failli vous moinsser comme la dizaine de déçus qui attendaient en entête la photo convoitée et étaient si profondément irrité par tous vos mots tournant en rond autour de la gamelle, que sa vision en fin d’article n’y suffit pas. Mais j’ai compris à temps votre subliminal revers de coup droit que j’ai pris pleine face. En effet, vous montrez que nous sommes derrière cette armée d’une demi douzaine de photographe qui focalisent ensemble pour mitrailler la même photo banale, comme pour la rendre essentielle et « stroboscoopique  » ( Ne me demandez pas ce que cela veut dire, je viens de l’inventer ). Et pendant que les fanatiques lobotomisés écarquillent leurs yeux fatigués par la finale d’hier visionnée à travers la loupe du fond de leur canette de bière de base, vous montrez la machinerie insensée des obséssionnels voyeurs qui vivent sur leur dos. C’est déjà frustrant de devoir fixer les robots qui indiquent la direction du doigts sans en voir l’objectif visé, mais en plus, vous montrez que dans la direction inverse, l’on peut voir enfin toute l’armée déployée pour activer l’angle de fascination de nos yeux télécommandés.

        Quand la foule montre la lune, vous, montrez le bout du doigts phallique armé par la colonie de focaliseurs, et moi j’ai bien vu qu’à l’inverse ne se voit pas le dos de la jeune star, la face cachée de l’étoile qui ne brille que dans le noir des plus complets...je vous ai donc plussé. L.S.


        • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 14:41

          @ Chère Lisa Sion

          C’est un plaisir d’être lu par l’intelligence même. Merci ! Paul Villach


        • jules simon 28 mai 2009 15:30

          Mr Villach

          vous etes la suffisance meme


        • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 16:15

          @ Jules Simon

          Tout le monde ne peut pas prétendre à votre insuffisance, bien incapable que vous êtes de contredire l’analyse que je propose. Paul Villach


        • jules simon 28 mai 2009 16:44

          Mr VILLACH,

          En aucun cas je n’ai la prétention de contredire l’analyse que vous proposez.
          Vous êtes sans nul doute bien plus expert que moi dans le domaine du traitement/décryptage de l’information.

          Non, mon commentaire (avant tout provocateur et ca a marché puisque vous répondez) concerne plus l’auteur que l’article.
          Quand j’écris suffisance je devrais plutôt écrire autosuffisance.
          En effet vous ne citez que vous même dans vos articles et les seuls fils sur lesquels vous intervenez sont ceux qui suivent vos articles.
          Dans vos réponses vous ne deviez pas d’un iota de l’argumentaire développé dans vos articles ressassant inlassablement les mêmes laïus et expliquant à vos détracteurs que, s’ils ne sont pas d’accord avec vous, c’est qu’ils n’ont pas compris ce que vous écrivez.

          En d’autres termes je trouve que vous prenez les gens de haut et ouvrez très peu le débat.

          Je trouve dommage que vos réponses ne soient pas à la hauteur de vos articles (toujours bien écrits et assez souvent intéressants).


        • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 16:51

          @ Jules Simon

          Avouez que votre commentaire était ambigu. Cette fois j’accepte vos remarques, sauf que ce qui intéresse ici, n’est pas ma personne, mais l’analyse que je fais de cette image et qui, si j’ai bien compris, ne vous déplaît pas.
          Avouez que c’est déjà beaucoup que de satisfaire un lecteur. Paul Villach


        • jules simon 28 mai 2009 16:57

          Mr VILLACH,

          sachez que si vos articles ne m’intéressaient pas, je ne prendrais plus la peine de les lire.
          Merci de cette réponse, sans rancune et au plaisir de débattre sur un prochain fil.


        • french_car 28 mai 2009 22:23

          Jules Simon vous aurez remarqué comment le Villach change de ton dès qu’on le caresse dans le sens du poil, c’en est comique.


        • l'homme pressé l’homme pressé 28 mai 2009 15:02

          Quand j’étais gamin, je prenais un plaisir certain à démonter et remonter mon vélosolex. J’en retirais même une quasi certitude d’avoir compris comment ça marchait.
          Evidemment, quelques années plus tard, quand il a fallu que je répare la vieille bagnole que j’avais acheté une bouchée de pain, j’ai compris que je ne connaissais rien de rien à la mécanique, et j’ai dû vraiment apprendre.
          Ma seule excuse à cette prétention de gamin-qui-croit-tout-savoir, c’est que j’étais un gamin.

          Quand on est un jeune blanc-bec, une telle prétention est compréhensible.
          Mais quand on a dépassé les soixante ans !

          Même vos amis le disent : à vouloir faire du stakhanovisme, vous écrivez n’importe quoi sur n’importe quoi, juste pour avoir sorti un nouvel article de plus.

          Prenez pas la peine de me répondre que j’ai rien compris et que j’ai qu’à aller commenter/troller ailleurs, je connais d’avance vos réponses : je pourrais les écrire d’avance.
          Villach, vous êtes au journalisme ce que Guy des Cars était à la littérature : un pisse-copie


          • claude claude 28 mai 2009 17:53

            bonjour léon,

            j’ai dévoré guy des cars quand j’avais 18 ans...

            son style rappelle celui des feuilletonistes du xix° siècle. ce que je peux dire, c’est que malgré la légèreté de ses sujets, il avait une bonne plume et savait raconter une histoire.... ce qui n’est pas toujours le cas de nos auteurs contemporains.


          • L'enfoiré L’enfoiré 28 mai 2009 17:56

            @L’homme pressé,
             J’ai trouvé amusant votre pseudo, permettez moi de le dire. Vous étiez donc pressé dès la jeunesse, vous vouliez réparer la bagnole avant d’en connaître la conduite. 
             De ce côté avec mes deux mains gauches, je n’ai jamais osé. Un moteur pour moi est reté la boîte noir et c’est très bien ainsi. Je cherche à placer ma confiance en quelqu’un dans il est spécialiste et puis basta, il a la bride sur le coup. En d’autres mots, je ne suis pas un gâche métier qui va au brico pour s’outiller et cela même à passer 60 ans dans cette autre vie toute aussi active et même radio-active. 
             L’écriture, je l’ai commencée vraiment, il y a un peu plus de 4 ans. Internet se prétait à cela, à un travail de réflexion. Et cela j’adore. Auparavant, des rapports, des mails trilingues à écire et puis basta. 
             Ce que je reprochais à Paul, ce n’est pas de l’autosuffisance ou de la suffisance. On pourrait le dire de tous ceux qui écrive d’ailleurs. Ecrire n’est pas du pisse-copie, je suis d’accord. C’est une introspection en soi-même et parfois comme il l’est en temps troublé, une véritable thérapie pour beaucoup. Ecrire laisse toujours quelque chose de soi. Il suffit de lire entre les lignes et d’analyser.
             Je ne sais si vous avez remarqué le nombre de nouveaux qui se présentent sur cette antenne rien qu’aujourd’hui ? Tous, sans photo, sans « A propos », c’est vraiment caractéristique de la situation. On n’ose plus se présenter de nos jours. Peur pour son travail, qu’on se fasse reconnaitre. Portrait robot : moyenne 30 ans, sans boulot. Ca cela me désole, je peux vous l’assurer.
             


          • brieli67 28 mai 2009 18:33

            ALLONS BON. Léon....

            un peu de vachettes
            http://video.google.com/videoplay?docid=2389700766234762445

            sur du « dirty sax »
            http://www.youtube.com/watch?v=b0cY32m4OCA

            un latino-americain classik non ?
            http://www.pattaya-gogo.com/play.php?vid=284

            Ben oui Paul : Prix Interallié, Michel Thomas/Houelebecq/ Platform
            http://en.wikipedia.org/wiki/Platform_(novel)

            à déguster d’un vieux Fig
            http://www.nouveau-reac.org/docs/HM/HM_031108.htm
             


          • l'homme pressé l’homme pressé 28 mai 2009 18:50

            @l’enfoiré Je n’ai en fait pas énormément progressé en matière de mécanique au cours des ans smiley

             Je rejoins par contre votre approche de l’écriture : un outil de réflexion sur les choses, sur le monde et sur soi. Tout le contraire de la tendance que prend Agoravox, qui devient une espèce de défouloir poujadiste. Il ne me semble pas que le plus urgent soit d’ajouter à la longue liste des articles qui ne sont que des billets d’humeur plus ou moins rédigés.

            Les analyses de PV pourraient bien être pertinentes, pourtant ; il suffirait qu’elles s’élèvent au ras du sol où elles stagnent, et surtout où elles semblent ne servir qu’à porter une détestation pour tout ce qui est jeune, joli, riche, connu, féminin (rayer les mentions inutiles). Enfoncer des portes béantes pour rappeler qu’une photo prise sur les marches du festival de Cannes est un objet de promotion n’est vraiment qu’effleurer l’écume des choses. Il y a beaucoup plus à dire que répéter que c’est de la communication (je doute que quiconque d’un peu habitué d’AV aie des doutes sur ce point).

            C’est malheureusement ce que notre auteur s’entête à ne pas entendre ; dommage car son oeil est acéré ; son jugement pourrait l’être autant si...

            Les apparences ne sont que superficielles, c’est derrière qu’il y a réellement à voir.
             Enfin, parfois ... et c’est sans doute ce que signifiait aussi Noirdez avec cet homme pressé

             smiley)

            Bien cordialement
            L’homme pressé


          • L'enfoiré L’enfoiré 28 mai 2009 19:31

            L’homme pressé,

            Je ne vais pas revenir sur mon reproche initial à Paul. C’est dit.

            Très bon analyste, notre Paul. C’est incontestable. Je suis sur qu’il pourrait faire une analyse sur le plus futile de la terre.

            J’ai connu, personnellement, une autre personne (celui dont je parle devrait être connu de Paul) qui quand je l’ai rencontré m’a mis à l’épreuve pour savoir si je pouvais écrire sur tout, en un temps record, sur un coin de table. J’ai répondu « non ». Je ne le pourrais pas par simple respect pour le lecteur. Je ne l’oserais même pas.

            Ecrire est plus profond pour moi et demande du temps et de la recherche. Ecrire sans être informatif n’est pas ma tasse de thé. Point. Déformation professionnelle très probablement.

            Rien n’est superficiel. Absolument. C’est en lisant entre les lignes, qu’on apprend sur son écrivain.

            Je me rappelle d’autre chose au sujet de l’Homme pressé. D’un film avec Delon. Lui, il ne parvenait pas à attendre les neuf mois pour avoir le gosse avec Mireille Darc.

            J’espère que vous n’êtes pas jusque là.


          • claude claude 28 mai 2009 17:43

            bonjour paul,

            • « un commando de photographes pour une photo infidèle d’un époux infidèle »

            en voilà un drôle de titre ?!

            quel époux infidèle ??? vous y répondez :

            • "Car le bruit court depuis longtemps que les amants sont au bord de la rupture : la jeune femme a elle-même alimenté la rumeur dans des magazines spécialisés, comme Gala, le 8 octobre 2008 : « Combien de fois j’ai failli me séparer de mon mari ? a-t-elle confié. Combien de fois j’ai failli partir ? », n’en pouvant plus de ses « infidélités  ». Cette photo est donc donnée pour mettre un terme aux ragots, avec la fiabilité incertaine qui s’attache à toute «  information donnée ».« 

            ahhhh »le bruit court« ... la »rumeur« ...
            des bruissements de cet univers pailleté et hors du temps, où les stars cotoient les riches et les puissants... où l’argent n’a plus cours et la même valeur...
             la »rumeur« , ce sont les miettes des pacotilles, des babioles que l’on veut bien distiller de temps à autre pour faire pleurer la pauvre bergère dans sa chaumière...
             »la belle dame a aussi des ennuis, finalement, elle est comme moi...« et toc ! ça fait remonter le cours des marchands de mouchoirs en papier !
            •  »elle ne peut corriger le masque ravagé de Hallyday que, par contraste, la fraîcheur du visage de son épouse rend encore plus repoussant. Une dernière intericonicité s’invite alors sans prévenir : on pense au film de Cocteau, « La Belle et la Bête », à ceci près qu’il est vain d’attendre que sous les traits de la bête le visage du prince charmant perce un jour.« 

            là je vous trouve un peu fort de café !
            jaloux ?
            de qui ?
            de notre jojo national et de son incroyable longévité de bête de scène, de toutes les filles magnifiques et intelligentes qu’il a tenu dans ses bras ?
            ou de l’attention que sa frêle épouse lui porte ( en étant un peu mesquine, je me dis que le porte-feuille bien rempli du môssieur y est pour beaucoup, m’enfin ... c’que j’en dis, moi...)

            s’il n’est plus de toute fraicheur et malgré son lifting loupé (on devrait faire un procès au chirurgien), il y en a de plus moches : mickey rourke par exemple, ou de plus grassouillets du bide...

            outre ses talents musicaux, il doit en avoir certains cachés qui font craquer ces (jolies) dames...

            pffffffff ! vous gâchez votre talent !

            si vous voulez parler de notre jojo national, je ne sais pas moi, écrivez-nous un article sur ses

            •  »performances d’acteur à travers les âges« ,
            • ou sur »l’influence de la philosophie hallidienne sur la révolution des jolies filles gravitant « back stage »« ...
            • ou »de l’intéret à appliquer le modèle du « pénitentier » dans la politique carcerale de notre président"...

            bien à vous,

            ps : vous pouvez aussi vous essayer à vulgariser l’oeuvre de ce grand philosophe belgo-américain...


            • L'enfoiré L’enfoiré 28 mai 2009 20:18

              Claude,
               J’en ai une autre et je l’ai ajouté à un de mles articles. Beaucoup plus profonde. Je fais un copy paste :
              Jean-Claude Van Damme, un autre bruxellois qui a fait son chemin ailleurs, avait ces paroles d’une profondeur extrême, lues dans un hebdomadaire :

              « J’aime bien aider maintenant. Tu te sens mieux si tu aides quelqu’un, même dans la rue ou un papy qui descend sa poubelle. Si on fait tous une action comme ça dans le monde entier, le monde change à une vitesse exceptionnelle. Mais il faut le nucleus. C’est comme une bombe atomique. C’est le big bang dans cette illusion qu’est la réalité. »

              Quand, je vous disais qu’on a des ressources de ce côté de la frontière... Avec le mot « nucleus », n’était-ce pas de Bruxelles, qu’il pensait, nostalgique ?

              Bizarre, ces Belges ! Vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange, un Bruxellois ! Et je signais l’Enfoiré, tout simplement....


            • claude claude 29 mai 2009 00:49

              cher enfoiré, merci pour cette citation, que je connaissais déjà !

              comme il est bientôt l’heure de se coucher, je vous en livre une autre plus appropriée à cette heure de la nuit !

              • "Si tu dors et que tu rêves que tu dors, il faut que tu te réveilles
                deux fois pour te lever."
                J.C VanDamme
              bonne nuit !


            • Yohan Yohan 28 mai 2009 18:07

              Jamais compris le culte du Johnny, ce phénix inoxydable.
              Pour moi, il a toujours été à la remorque artistiquement parlant, car pomper les tubes des autres ici et là, n’est pas jouer. Vu de l’étranger, c’est qui est ce martien qui singe tour à tour, Elvis, Johnny Cash, Hendriks, Dylan, Jagger, Jimi Page, et se coule dans toutes les modes qui passent par là.
              Il y en encore pour le croire rocker, alors que c’est un bon toutou sans collier qui ne ferait pas de mal à une mouche, voire un chat de gouttière qui rentre le soir chez sa maîtresse.
              Seule honnête période, celle où Berger lui a servi de la bonne soupe.
              Johnny est un bon produit qui a toujours rapporté à la France et aux majors companies. Alors, si bon gars, bon con, bon copain, généreux du portefeuille il peut bien être bite à l’affût, parce qu’il le vaut bien....


              • Lapa Lapa 28 mai 2009 18:20

                bizarrement j’ai trouvé cet article assez intéressant car abordant l’importante notion d’information « indifférente » et ne se contentant pas d’analyser la communication d’une page de couverture tout en crachant sur la personne photographiée ; même si on reconnaît sur certaines phrases la patte Villach (ie:mépris envers la personne sur la photo).


                • TSS 28 mai 2009 18:32


                  Intériconicité et metonymie sont deux sur lesquels vous avez flashé car on les retrouve dans

                   tous vos articles... !!


                  • french_car 28 mai 2009 22:30

                    TSS Intérconicité, métonymie et leurre sexuel sont les 3 mamelles de notre plumitif (pardon Mr Sully)


                  • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 22:33

                    @ TSS

                    Comment analyser une image sans identifier ses procédés structurels ? Métonymie et mise hors-contexte toujours et intericonicité dans une moindre mesure sont des procédés structurels de l’image. C’est-à-dire que toute image est constituée de ces procédés.

                    Si vous ne vous appuyez pas sur ces procédés, comment justifier l’effet pour la cause ou la reconnaissance d’une image connue dans une image inconnue ?
                    Il me semble que c’est ce qui s’appelle la rigueur dans l’analyse. Sinon vous pouvez dire ce que vous voulez sans justifier ce qui vous autorise à le dire, ce qu’on appelle le bavardage !
                    Je vous l’accorde, ça ne s’apprend pas à l’École. Dommage ! Sinon vous ne seriez pas aussi surpris ! Paul Villach


                  • Surveyor SURVEYOR 28 mai 2009 18:40

                    Peut être qu’à travers de cette article Mr Villach reproche à notre Hallyday national sa connivence avec Sarko et son intelligence sous la moyenne et toute la sous culture qui va avec, ce blouson noir devenu doré, qui je dois l’avouer à du coffre, mais du coffre contenant de la vrai soupe, ça déborde, faut le dire....
                    Phrase celebre au Dackar : Si j’étais parti plus tôt, je ne serais pas arrivé trop tard, enfin c’etait à peu prés ça......


                    • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 22:40

                      @ Surveyor

                      Il me semble que cette parole célèbre est la suivante : « Tu te rends compte ? Si on avait pas perdu une heure et demie, on serait arrivé une heure et demie plus tôt » !!!
                      Qui dit mieux ?
                      On commence à en avoir ras le bol de voir les incultes adulés et offerts en modèles. Paul Villach


                    • TSS 28 mai 2009 18:40

                      ou de l’attention que sa frêle épouse lui porte ( en étant un peu mesquine, je me dis que le porte-feuille bien rempli du môssieur y est pour beaucoup, m’enfin ... c’que j’en dis, moi...)

                      le père de la demoiselle est aussi riche sinon plus que J.Halliday et cerise sur le gateau

                       Johnny a de l’argent et n’a plus ses comptes dans le rouge que depuis que son beau père s’en

                       occupe d’ailleurs je pense qu’il n’est pas pour rien dans sa tentative de belgitude et dans son

                       exil en Suisse... !!


                      • french_car 28 mai 2009 22:36

                        Léon vous voulez dire que Johnny est à Pavarotti ce que Villach n’est pas à F.O.Giesbert smiley ?


                      • Butters Butters 28 mai 2009 20:50

                        bah aprés bcp d’articles à lire avec des pincettes, je comprend qu’il soit bon de se lacher un peu sur un de ces acteurs médiatiques, troubadours déplorablement surpayés, qui ne méritent finalement de mettre lumière (par le biais des flashs j’imagine) que la médicrioté de leur exemple comme pour les punir d’en avoir profiter sans retenu.

                        De plus j’aime à croire que la belle a souffert de la bête pour manger dans une gamelle à la taille de ses yeux mais bien trop grosse pour son petit bedon, quelle douce perspective... multipliez ca au facteur temps pour comprendre que ce genre d’équation obtient souvent le résultat catastrophique auquel je suis friand :p

                        Je trouve mon bonheur dans le simple fait d’en savoir un vieux, malade, et malheureux, et l’autre jeune, patiente, malheureuse et vivant dans un enfer doré dont elle n’aurait pas du passer la porte ^^
                        Je finirais tout simplement en leur souhaitant tout le malheur du monde en toute sincérité.

                        (bon la critique etait quand même plus générale dans l’arcticle, mais j’avais envie de surencréchir sur les sujets « principaux » du clichets)

                        C’est toi qu’a raison Paul, Ca fait du bien... mmhhhiAAM !


                        • Paul Villach Paul Villach 28 mai 2009 22:47

                          @ Butters

                          Seulement, j’ai eu le malheur de profaner l’idole imbécile ! Voyez les fans comme ils se déchaînent ! On a les idoles qu’on peut ! Celle-là, en tout cas, signe les carences des malheureux qui lui vouent un culte. Paul Villach


                        • claude claude 29 mai 2009 00:42

                          non paul,

                          il n’est pas question de profanation...

                          simplement, on s’en fout !

                          • du tapis rouge,
                          • des appareils photos rangés en forme de flèche,
                          • des infidélités de jojo
                          • de sa frêle jeune femme
                          • de ses sous
                          • du baiser...
                          bref, on s’en fout tout simplement... et on trouve que vous gâchez votre talent à ces peopleries imbéciles, au lieu d’écrire de vrais articles...

                          allez, juste pour le plaisir, une autre pensée de notre philosophe favori :

                          • "Y a des gens qui n’ont pas réussi parce qu’ils ne sont pas aware,
                            ils ne sont pas « au courant ». Ils ne sont pas à l’attention de savoir
                            qu’ils existent. Les pauvres, ils savent pas. Il faut réveiller les
                            gens. C’est-à-dire qu’y a des gens qui font leur travail, qui font
                            leurs études, ils ont un diplôme, ils sont au contact tout ça. Tu as
                            un rhume et tu fais toujours « snif ». Faut que tu te mouches. Tu veux
                            un mouchoir ? Alors y a des gens comme ça qui ne sont pas aware. Moi
                            je suis aware tu vois, c’est un exemple, je suis aware.".


                        • french_car 29 mai 2009 07:34

                          Claude, Villach ne gâche pas le talent qu’il n’a pas. Disons que lorsqu’il aborde un sujet qui présente un intérêt on se gargarise de sa prose alors qu’elle est aussi insipide là que quand il applique les mêmes recettes pontifiantes et éculées à propos de notre Johnny (yeah !).


                        • Paul Villach Paul Villach 29 mai 2009 11:19

                          @ Claude

                          Pardonnez-moi, Claude, mais je ne me fous pas de cette « information indifférente » avec ses modèles et sa censure discrète. Car elle formate l’esprit d’une majorité de mes contemporains qui m’imposent ensuite un mode de vie dont je ne veux pas !

                          Voilà pourquoi il est important de ne pas laisser sans objection cette information indifférente qui rayonne tranquillement et réussit le tour de force de persuader qu’il est vain de s’attaquer à elle puisqu’elle est apparemment insignifiante ! Or elle n’est pas insignifiante, elle est anesthésiante, ce n’est pas pareil. Paul Villach


                        • Grandghana 28 mai 2009 21:19

                          « En d’autres termes je trouve que vous prenez les gens de haut et ouvrez très peu le débat. »
                          Au moins c’est dit (écrit). Le seul intérêt selon moi de ce fil à la suite d’un tel article...


                          • french_car 28 mai 2009 22:38

                            Grandghana, on se sent un peu moins seuls ici Léon vous et moi. Il semble que certains n’aient pas repris leur carte du fan-club de Villach - et ses villachettes smiley


                          • darthbob darthbob 28 mai 2009 22:00

                            Je comprends pas trop les réactions hostiles et excessives qui suivent cet article...

                            La photo commentée mérite qu’on s’y attarde.

                            Merci Paul de l’avoir révélée.

                            En fait, ce qui peut gêner c’est le titre et les ragots sur l’infidélité. On s’en tape. La photo se suffit à elle même ! Pas besoin d’identifier les protagonistes !

                            Le placement des photographes crée une illusion de mouvement, d’encerclement. Comme si un seul photographe se déplaçait autour du couple de droite à gauche et que la photo captait une certaine rémanence, une persistance rétinienne.

                            Le cadrage, les couleurs, les directions des regards, non, cette photo est intéressante en elle-même.

                            Par contre, la photo jointe du couple, elle me fait froid dans le dos : une momie embrassant un squelette, pouah !


                            • Paul Villach Paul Villach 29 mai 2009 11:28

                              @ Darthbob

                              Une bande de trolls qui n’a rien d’autre à faire qu’à lire ce qui ne les intéresse pas et éprouve en plus le besoin de le dire, satisfont leur masochisme. C’est sans importance.
                              Ou plutôt, ils témoignent par leur conduite de l’intérêt de cet article, même s’ils le démentent en paroles. Mais entre langage analogique et langage digital, c’est le langage analogique qui ne ment pas !

                              Pour ce qui est du titre, je vous l’accorde, c’est une accroche pour une réflexion autrement plus approfondie, bien que cette photo entre dans un plan média du produit Hallyday qui, vous l’avez remarqué, squatte littéralement les médias actuellement. Voyez, même sur AGORAVOX, une pub vous invite à jouer au poker avec ce patriote exilé fiscal ! Paul Villach


                            • Bulgroz 28 mai 2009 22:23

                              Tiens, on critique l’article de mon ami Paul Villach.

                              Je ne suis pas d’accord. J’aime quand on regarde les choses par la petite lorgnette. 
                              Comme quand on regardait le fond des pots de chambres, on y découvrait des anges ou des petits personnages (si le pot était vide évidemment).
                               
                              C’est une question de zoom comme j’avais déjà eu l’occasion de le dire dans un post mémorable mais malheureusement disparu. Censuré par qui déjà ?

                              Demain, quel article pour Paul ?

                              Tiens si on parlait de cette enseignante poignardée prés de Toulouse, le recteur a parlé de « choc des cultures ». Que voulait il donc dire ? Info extorquée ? Paul nous dira tout demain. 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès