Monsieur, Messieurs
Au regard des difficultés de compréhension que vous rencontrez indéniablement avec la langue française dans son expression la plus simple, et bien quelle vous soit, je suppose, « maternelle », il me semble inutile de poursuivre avec vous une quelconque discussion sur des thèmes qui appellent une réflexion sophistiquée, et qui nécessiterait au préalable une maîtrise et une compréhension autrement supérieures de la langue et de ses concepts que celles dont vous semblez jouir à ce jour.
Au-delà de vous et de quelques autres, chacun aura en effet compris que l’emploi du verbe pouvoir (« peuvent » dans le texte) exprime une possibilité et non une généralité, et que par conséquent, le texte ne saurait souffrir d’une quelconque contradiction.
Aussi je ne m’étonne point, des mauvaises interprétations que vous pourriez faire d’une lecture scientifique, n’en maîtrisant incontestablement ni la forme ni le fond, et m’amuse de votre interprétation fantasmatique des travaux de Luigi Luca Cavalli-Sforza.
Quant à vous, Fréderic, vous semblez souffrir de la même déficience. Vous aussi, parlez de choses que, ni vous ne comprenez, ni vous ne maîtrisez. Et je veux pour preuve votre interprétation de la « dérive génétique ». La dérive génétique touche les groupes qui se trouvent isolés et mène à terme à leur disparition. Le métissage assure au contraire la pérennité de l’espèce. N’en vous déplaise, ce sont des faits scientifiques incontestables et scientifiquement incontestés.
Bien qu’Agoravox n’offre pas toujours des échanges émanant d’une réflexion de qualité, le niveau y est déjà trop relevé pour que vous puissiez répandre vos fantasmes et inepties sans que quelqu’un prenne la peine de vous mettre face à vos limites.
Carl