@L’auteur,
Après votre article, peu importe la fin dans laquelle vous prenez position, je ne peux dire qu’une chose : vision que j’ai aimé mais qui était presque complète. L’aspect de ce que coute les choses n’a pas été évoqué. Il y a très peu de pays, très peu de citoyen de cette Europe qui savent comment cela fonctionne et avec quoi. Que se serait-il passé si elle n’avait pas existé, sans l’euro, sans les protections des consommateurs européens. Les frontières fermées n’ont jamais été hermétiques. Vivre en autarcie, personne ne l’a imaginé. Cela ne marche plus. On produit trop pour notre propre consommation. Cela on oublie. Alors, il faut écouer notre camelotte en espérant qu’il n’y ai pas trop de camelotte qui nous reviennent de l’extérieur.
Comme je l’ai fait remarqué. La democratie a un défaut quand elle s’étend à des entiitées disparates : elle oublie les minorités. C’est pour cela qu’il faut faire une tournante à la tête. Pas d’autres manières d’en sortir. Que manque-t-il aujourd’hui ? PLus de social, évidemment. Mais une langue de transit est un must aussi. Et cela c’est l’école qui doit faire les premiers pas. Dur dur, qu’on n’a plus le bérêt sur la tête et la baguette sous le bras, hein.