Cet article est délirant car l’auteur ne semble pas comprendre que lorsque l’on parle de jeunes c’est des jeunes de blanlieue : ceux qui crachent par terre, niquent la france ou brulent des voitures.
Lorsqu’un homme politique dit ne pas aimer les « jeunes » je ne me sens pas visé bien que je suis moi même un jeune. Mieux ! Je suis souvent d’accord avec ces mêmes hommes politiques. Eh oui, un jeune qui n’aime pas les « jeunes ».
D’autre par, qu’est ce un bouc émissaire si ce n’est quelqun qui n’est pas entierement responsable mais sur qui on rejette la totalité de la responsabilité pour ne pas voir la nôtre.
Eh bien je suis désolé mais ce sont bien ces « jeunes », eux, et eux seuls qui brulent des voitures. Personne ne les aide. Ce sont bien eux et eux seuls qui augmentent l’insécurité et pas d’autres. Ce ne sont pas des boucs émissaires, ce sont les responsable des problèmes d’insécurité et ils ne partagent pas la responsabilité avec d’autres.
Quand au mythe de la jeunesse eternellement mauvaise, il faut bien voir que les anciens mauvais jeunes ce sont améliorés en grandissant alors que la, on reste racaille même à 40 ans ! C’est la toute la différence.
Enfin, jamais les jeunes n’ont commis d’actes aussi grave. On leur reprochait avant d’avoir un mauvais esprit, d’être dépravé mais pas de saccager leur environnement aussi fortement.
En mai 68, à Woodstock, il n’y avait que quelques gardes du corps pour seule sécurité. N’importe quel petit concert de RAP dégénere en banlieue malgré l’impressionant service d’ordre. La est la différence.