Je ne pense pas que Bayrou soit politiquement mort ,car alors qui pourrait prendre sa place en étant crédible-------------------Bayrou reste quand même quelqu’un d’honnête ,du moins moins malhonnête que les autres
certes il a fait une erreur et même une faute en s’attaquant à la vie privée de Cohn Bendit,mais ce n’est pas dans son habitude ni dans le genre du personnage ,il s’est laissé emporter face aux attaques et insultes assez ignobles pour le coup de CB,et il a du penser en rendant coup pour coup faire d’une pierre deux coup ,rendre la monnaie à son adversaire et l’anéantir du même coup,mais voilà ,c’est une erreur et une faute ,car la vie privée est sacrée,il aurait pu l’attaquer d’une autre manière -----------------------toutefois Bayrou a bien conscience de sa faute et a fait son mea culpa
mais ce n’est pas là son talon d’Achille ,sa personne n’est pas en cause,du moins sa moralité,non,son handicap ,et je l’ai déjà dit c’est son positionnement politique ,son idéologie centriste qui n’est pas ou plus de mise pour l’époque troublée actuelle,n’est pas adéquat à la situation tragique d’aujourd’huis ,il ya le feu dans la maison et il ya urgence ,l’heure n’est pas aux demi mesures mais à des actes de changements radicaux ,nous sommes à un moment révolutionnaire qui exige des actions révolutionnaires ------------------------c’est pourquoi les partis d’idéologie molle centriste s’effondrent que ce soit le modem ,les socialistes et la sociale-démocratie en général dans toute l’Europe
mais la droite conservatrice qui se renforce ne doit pas se leurrer,ce n’est pas son idéologie néolibérale et capitaliste mondialiste qui est plébiscitée ,au contraire ,c’est la peur de l’insécurité ,de l’étranger ,de l’immigration sauvage ,des oppositions de cultures différentes et en particulier de l’islam,de la pollution capitaliste du mondialisme marchand et spéculateur ,ce sont toutes ces peurs qui font que les citoyens votent pour la droite musclée qui semble à tord ou à raison plus les rassurer qu’une gauche laxiste ancrée dans le laisser-aller