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Commentaire de Nobody knows me

sur Les losers et les bras cassés de la diversité


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Nobody knows me Nobody knows me 12 juin 2009 10:14

En fait, ce n’est pas un grand écart. Mon image, je l’accorde était inexacte. C’était comme décrire un tableau de peinture à un aveugle avec une main sur un oeil. Cette vision très innocente masque malheureusement des intentions beaucoup plus politiques de votre part à mon avis. On appelle cela « occulter une partie de la réalité ». Je rajouterais même « avec préméditation ».
Clinton a permis en effet ces prêts absurdes à l’époque, que les banquiers se sont empressés de mettre en oeuvre au détriment du bons sens. Le comble pour un banquier vous conviendrez, est de ne pas vérifier que son client est solvable...
Ensuite, la belle époque des titrisations et de la propagation du fléau sur les places boursières, avec toujours cette naïveté qui poussait à croire que la croissance immobilière serait infinie...
Puis apparut la quintessence du libéralisme, du non-interventionisme de l’Etat, avec le renflouement des banques avec les deniers publics... Là aussi, paroxysme de naïveté.... ou d’hypocrisie.
Donc les populations ayant contracté ce genre de prêts sont une partie du problème seulement, ce ne sont pas « les mêmes » qui ont causé la crise et élu Obama.
A la limite, je conçois qu’on puisse affirmer : « une partie de la population ayant causé la crise des subprimes a voté pour Obama ».


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