Les losers et les bras cassés de la diversité

Et oui, d’ailleurs, les pauvres méritent leur misère,causée par leur seule nullité, c’est bien connu.

Entre nous,s’il y en a qui, au cours de l’Histoire, ont le plus souvent su voter dans le sens de leurs intérêts économiques, ce seraient plus les riches que les pauvres.

Et puis, il y a plus que deux candidats dans une élection américaine, rien n’interdit de voter pour les autres.

Je vous laisse la responsabilité de ce que vous dites. Cela n’ôte rien au fait

- que 28 des 70 millions de voix récoltées par Obama émanaient de non-Caucasiens,

- qu’un de ses électeurs sur quatre était un Afroricain,

- que 67 % des Hispaniques, 62 % des Asiatiques et 66 %　des « autres » non-Caucasiens ont voté pour lui

- que 80 % des votants non Caucasiens ont donné leur suffrage à Obama

- qu’il ne sera plus jamais possible de se faire élire président des Etats-Unis sans un appui massif des électorats « ethniques »

- que ces Américains-là n’ont plus rien à voir avec ceux à qui J.F, Kennedy disait　 : - Pensez à ce que vous pouvez faire pour votre pays, plutôt qu’à ce que le pays peut faire pour eux

- et que cela aura des conséquences involutives pour cette Amérique WASP qui avait su devenir la première puissance du monde, gagner la Deuxième Guerre mondiale, aller dans la Lune et remporter la Guerre froide.

C’est un sacré grand écart d’affirmer que la crise des subprimes, ainsi que - avec le même esprit d’association - ses conséquences dans le monde, auraient été causées par la population pauvre non caucasienne des Etats Unis... Sûrement un complot. Salauds de pauvres va.
Chapeau l’artiste.

Cependant je suis d’accord sur la première partie, l’élection d’Obama est forcément logique puisque cela fait longtemps que les caucasiens sont une minorité aux Etats-Unis. Le fait est que c’est justement la particularité première des Etats-Unis. Un énorme caillou rempli d’exilés de tous horizons depuis sa conquête par les européens.
Melting pot, isn’t it ?

« C’est un sacré grand écart d’affirmer que la crise des subprimes, ainsi que - avec le même esprit d’association - ses conséquences dans le monde, auraient été causées par la population pauvre non caucasienne des Etats Unis... Sûrement un complot.　 »

Un complot, non. Juste une décision politique – largement appuyée par le gandin du bureau ovale, à l’époque – d’accorder des prêts hypothécaires à une foule de gens n’offrant aucune garantie de solvabilité, et principalement des Afroricains et des Latinos, c’est-à-dire des électeurs d’Obama. Je ne vois pas où est le grand écart. Mais vous allez sûrement nous expliquer tout ça...

« 　Le fait est que c’est justement la particularité première des Etats-Unis. Un énorme caillou rempli d’exilés de tous horizons depuis sa conquête par les européens. Melting pot, isn’t it　 ?　 »

Exact, mais dont les proportions évoluent dans le sens d’une tiers-mondisation extrêmement nuisible pour le pays. Au dynamisme d’une population à la mentalité de pionnier, se substitue le fatalisme de populations à la mentalité d’assisté et cela, à terme peut-être beaucoup plus rapproché qu’on ne l’imagine, c’est la fin des Etats-Unis en tant que puissance planétaire.

En tant qu’Européens, il n’est évidemment pas interdit de s’en réjouir.

C’est quoi un « Caucasien » ?

Un Georgien ? Un azeri ? Un Arménien ? Un Tchetchène ?

gAZi bORAt

« C’est ce que nous faisons en Europe avec la culture du « métisage » et des soit disant apports de la diversité, ce qui n’est que des mots déconnectés de la réalité. »

Vous ne le savez peut-être pas, mais dans le Pérou ultramétissé que nous connaissons, ce n’est qu’actuellement que sont rattrapés les rendements agricoles que l’empire inca enregistrait il y a cinq cents ans !

@ BOIS GUIBERT

Mais qu’est-ce donc qu’une « culture du métissage » ?

Des ordonnances gouvernementales imposant à leurs citoyens des mariages exogames ?

Le contraire de ceci seraient l’imposition de législations comme les tristement célèbres « lois raciale de Nuremberg » adoptées par l’Allemagne nazie..

C’est ce modèle que vous souhaitez ?

Dans votre vision du monde, il n’existrien de positif sur la planête, hors des productions des peuplades « aryennes », terme gentiment relooké en un « caucasien » plus politiquement acceptable..

En fait, une apologie « Canada Dry » du défunt national socialisme.. Une doctrine comme celle qui animait le dernier psychopathe américain médiatisé : James Von Brunn..

Votre héros du jour ?

gAZi bORAt

En fait, ce n’est pas un grand écart. Mon image, je l’accorde était inexacte. C’était comme décrire un tableau de peinture à un aveugle avec une main sur un oeil. Cette vision très innocente masque malheureusement des intentions beaucoup plus politiques de votre part à mon avis. On appelle cela « occulter une partie de la réalité ». Je rajouterais même « avec préméditation ».
Clinton a permis en effet ces prêts absurdes à l’époque, que les banquiers se sont empressés de mettre en oeuvre au détriment du bons sens. Le comble pour un banquier vous conviendrez, est de ne pas vérifier que son client est solvable...
Ensuite, la belle époque des titrisations et de la propagation du fléau sur les places boursières, avec toujours cette naïveté qui poussait à croire que la croissance immobilière serait infinie...
Puis apparut la quintessence du libéralisme, du non-interventionisme de l’Etat, avec le renflouement des banques avec les deniers publics... Là aussi, paroxysme de naïveté.... ou d’hypocrisie.
Donc les populations ayant contracté ce genre de prêts sont une partie du problème seulement, ce ne sont pas « les mêmes » qui ont causé la crise et élu Obama.
A la limite, je conçois qu’on puisse affirmer : « une partie de la population ayant causé la crise des subprimes a voté pour Obama ».

« 　C’est quoi un « 　Caucasien　 »　 ?　 »

Le terme caucasien désigne, en l’occurrence, un blanc de type européen, c’est le terme qui est utilisé pour le distinguer des Latinos, par la police américaine, mais également par les biologistes pour le distinguer des Caucasoïdes non Européens (Nord-Africains, habitants du Proche-Orient, Iraniens, Indiens, Pakistanais, etc., selon le Pr Cavalli-Sforza), que les racistes rassemblent sous le terme péjoratif et insultant de « 　bougnoules　 », qui vous est sans doute plus familier.

« 　Mais qu’est-ce donc qu’une « 　culture du métissage　 »　 ?　 »

C’est celle qui résulte du discours d’un président de la République, lui-même issu de l’immigration　 : « 　« Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création, demain, sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot,... dans le métissage.　 » Congrès de l’UMP, 14 janvier 2007.

D’autres questions　en rapport avec le sujet ? Ce sera très volontiers…

« En fait, une apologie « Canada Dry » du défunt national socialisme.. Une doctrine comme celle qui animait le dernier psychopathe américain médiatisé : James Von Brunn... »

Et revoili revoilou le vrai Borat C’est comme ça qu’on le connaît, c’est comme ça qu’on l’aime, c’est comme ça qu’il nous rassure (mais pas sur son état de santé mentale).

P.S. - Les fusées, c’est Werner et pas James, et c’est von Braun et pas von Brunn. Sacré Borat, l’a la mèmoire qui flanche.

« 　Le comble pour un banquier vous conviendrez, est de ne pas vérifier que son client est solvable...　 »

Lorsque je compare ce comble avec ce que Max Weber nous rapporte dans « 　L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme　 », je constate que la « 　légèreté　 » de ces banquiers s’inscrit parfaitement dans le processus général de tiers-mondisation des Etats-Unis. Qui se traduit non seulement par une régression économique, culturelle et intellectuelle, mais également morale, ça va pour ainsi dire de soi.

Pour le reste, je persiste à affirmer que la crise des subprimes et l’élection d’Obama trouvent leur source dans les mêmes strates de la population des Etats-Unis. Au point que je ne vois même pas comment on peut affirmer le contraire.

Je ne vois pas non plus où vous lisez que je dis le contraire. J’affirme en revanche que ces classes sont en partie à l’origine de la crise.
Oui, ce sont bien ces strates de la population qui ont contracté des prêts à taux variable, oui elles n’ont pas pu payer leurs traites, mais on ne peut leur imputer toute la responsabilité des subprimes. Ce serait du domaine de l’aveuglement total et borné.
Je ne vois d’ailleurs pas comment je pourrais leur reprocher d’aspirer à une vie meilleure (je doute que les banquiers les ai prévenus du déroulement réel de leur prêt).
Aussi absurde que de reprocher aux autres êtres vivants de respirer mon air...

elles n’ont pas pu payer leurs traites, mais on ne peut leur imputer toute la responsabilité des subprimes.

Je n’ai jamais parlé de responsabilité, parce que, dans tous les cas de figure, elle est considérablement réduite par la simplicité même de gens à qui on a fait miroiter l’inimaginable perspective de devenir propriétaires de leur habitat.

Dans leur contexte, ces gens font partie des victimes.

Ben voilà on est bien d’accord.

Et donc le niveau de granularité du terme « caucasien » vous convient pour différencier les groupes que vous identifiez ?
C’est qq peu approximatif de parler de caucasien/non caucasien quand on voit le spectre très large que ces deux catégories englobent non ?

C’est qq peu approximatif de parler de caucasien/non caucasien quand on voit le spectre très large que ces deux catégories englobent non ?

Si un savant comme Cavalli-Sforza d’une part et un flic américain d’autre part, s’en sortent avec ces catégories-là, on devrait pouvoir s’en accomoder...

Sauf que, à ma connaissance, Cavalli-Sforza ne s’est jamais permis d’associer sa géographie génétique (un principe logique) avec vos thèse raciste basé sur la sois-disante « supériorité » des caucasiens (thèse pleinement assumée dans vos derniers postes).

J’ignore si vous faites partie de la communauté scientifique, bois-guibert. Mais si ce n’est pas le cas, de quel droit vous associez vous à la réussite et à la puissance de l’occident, dont cette communauté est l’origine ? Les scientifique occidentaux progressent justement en collaborant avec des scientifique africain, asiatique ou sud-américain. Et personnellement, je me sens bien plus proche d’un scientifique arabe ou chinois que d’un pilier de bistro français et bien caucasien comme il faut.

Aucun, je dis bien aucun article scientifique sérieux, donc basé sur un jeu d’expérimentation rigoureux et un raisonnement logique, ne vient étayer vos thèses.

Avec un raisonnement comme le votre, on peut, en constatant que, statistiquement, les voitures rouges roulent plus vite que les voitures bleu, en déduire que c’est la couleur qui améliore la vitesse.

Ce que Bois Guibert oublie de dire, c’est que les conclusions de Cavalli Sforza vont à l’encontre des siennes : une «  race pure » est condamnée à dégénérer..

gAZi bORAt

Mycroft,
A travers le ricard, qui décompose très bien le spectre de la lumière, on peut très bien arriver à des conclusions stupéfiantes... Ca fait très « étude scientifique à la louche » cependant.
 

« 　Sauf que, à ma connaissance, Cavalli-Sforza ne s’est jamais permis d’associer sa géographie génétique (un principe logique) avec vos thèse raciste basé sur la sois-disante « 　supériorité　 » des caucasiens (thèse pleinement assumée dans vos derniers postes).　 »

Cavalli-Sforza se permet ce qu’il veut, ça ne me concerne d’autant moins que les thèses racistes basées une prétendue supériorité des Caucasiens, n’appartiennent pas à ma perception du monde. Que vous le croyiez ou non m’indiffére complètement.

Je me limiterai à observer que la prétendue supériorité des Caucasiens est très sévèrement battue en brèche par les Japonais, les Coréens, les Taïwanais, par une partie au moins, des Chinois, celle qui présente des aptitudes au développement industriel, et par quelques autres pays d’Asie du Sud-est.

« 　 J’ignore si vous faites partie de la communauté scientifique, bois-guibert. Mais si ce n’est pas le cas, de quel droit vous associez vous à la réussite et à la puissance de l’occident, dont cette communauté est l’origine　 ?　 »

Mon droit vient de mon appartenance à la communauté humaine dont cette communauté scientifique fait partie. Une communauté humaine qui est ma famille au sens le plus large. Or, lorsqu’un membre de la famille réussit quelque chose de bien, c’est toute la famille qui est honorée et fière. Enfin, chez moi, c’est comme ça comme ça se passe.

« 　Les scientifique occidentaux progressent justement en collaborant avec des scientifique africain, asiatique ou sud-américain.　 »

C’est possible, mais ça ne prouve rien. Les individus, qui ne représentent qu’eux-mêmes, et les races, qui sont par trop hétérogènes – comme le notait Nobody knows me – ne sont pas des références pertinentes. Le seul véritable étalon de mesure, c’est le peuple.

C’est lui, indépendamment de ses sujets d’exception ou de son appartenance raciale, qui s’avère performant ou médiocre. Si vous prenez 22 millions de Taïwanais, vous avez Taïwan, pays riche parti de rien en 1945, et si vous prenez 21 millions de Mozambicains, vous avez le Mozambique, pays pauvre parti de pas grand-chose en 1975 et arrivé à rien en 2009.

Une comparaison de même ordre peut se faire entre l’Allemagne et l’Egypte, entre le Canada et l’Afghanistan, ou entre la Suisse et le Honduras. Et on aboutit à cette conclusion que les pays médiocres sont l’expression de peuples médiocres. On peut ensuite balancer des centaines milliards d’euros dans le tonneau des Danaïdes du développement sans que cela n’y change rien.

Dans un ordre d’idées un peu différent, je vous affirme, avec la plus sereine des assurances, que les expériences de Chavez au Venezuela ou de Morales en Bolivie sont d’ores et déjà promises à un fiasco à peu près complet. En raison de l’insurmontable médiocrité de leurs ressources humaines, précisément.

« 　Aucun, je dis bien aucun article scientifique sérieux, donc basé sur un jeu d’expérimentation rigoureux et un raisonnement logique, ne vient étayer vos thèses.　 »

Vous devriez quand même essayer de jeter un coup d’œil du côté des PIB/hab. par pays. Vous verrez, il y a des différences considérables.

Par ailleurs, il n’existe pas non plus de « jeu d’expérimentation rigoureux » et de « raisonnements logiques » pour démontrer que des peuples qui, dans leur pays d’origine, sont depuis toujours apathiques, fatalistes, désordonnés, espiègles et futiles, soient devenus entreprenants, ingénieux, inventifs, besogneux, efficaces et performants, sous d’autres latitudes.

« 　Avec un raisonnement comme le votre, on peut, en constatant que, statistiquement, les voitures rouges roulent plus vite que les voitures bleu, en déduire que c’est la couleur qui améliore la vitesse.　 »

Non, on peut pas  

Ce que Bois Guibert oublie de dire, c’est que les conclusions de Cavalli Sforza vont à l’encontre des siennes : une « race pure » est condamnée à dégénérer..

Il faudrait qu’il puisse m’accompagner pendant trois mois du Rio Grande à la Terre de Feu pour que je puisse lui montrer les stupéfiants bienfaits du métissage.

J’ai déjà dit que le Pérou, métissé comme pas deux, en est, en ce début de millénaire, à égaler les rendements agricxoles qui étaient ceux de l’empire des Incas, il y a cinq cents ans. Ce n’est qu’un exemple très ponctuel.

@ bois-guibert

Vous faites exactement l’erreur que je pointais avec mon exemple : vous estimez que, si dans un pays A le pib/hab est inférieur à celui d’un pays B, c’est que la population du pays A est moins compétente que celle du pays B. Et pire encore, vous affirmez que cette incompétence et génétique. Le raisonnement « le pib/hab est bas implique le peuple est médiocre » est aussi stupide et ridicule que « la voiture rouge vas plus vite implique la couleur améliore la vitesse ».

C’est une affirmation que rien ne prouve, voir même que les études sérieuse infirment assez souvent. Il ne semble y avoir aucune corrélation entre les capacité d’une personne et son appartenance ethnique. Vos propos sont raciste, Bois-guibert, de ce racisme aussi stupide et borné que ne l’est l’extrémisme religieux, qui part d’une thèse qu’il veut irréfutable alors qu’elle est contraire à l’observation réfléchie. Vous parlez de peuple apathiques, fatalistes, désordonnés, espiègles et futiles, mais vous rendez vous compte que le peuple occidental ne correspond pas moins que n’importe quel peuple à cette description ?

La puissance de l’occident vient simplement d’un effet boule de neige : nous avons eu la chance, à un moment de notre histoire, d’avoir quelques individus particulièrement brillant parmi nous. Ces derniers on lancé la machine, la science et l’éducation engendrant un cercle vertueux. C’est un pure coup de chance, rien de plus. Cet effet boule de neige a aussi marché pour les pays asiatique, elle n’est pas encore lancé pour l’Afrique, peut être aussi parce qu’on ne fait rien pour l’amorcer. Le climat, nous aide aussi, il est plus simple de faire tourner un ordinateur en climat tempéré qu’en climat tropical, j’en sais quelque chose pour avoir passé un moment au Vietnam.

Si vous voulez trouver une raison de notre décadence, cherchez donc du coté de l’individualisme forcené, de la compétition permanente, qui n’est qu’un moyen de doper la société, un boost à cour terme qui a des effets désastreux à long terme.

Sinon, moi, dans ma famille, on a pas l’habitude de s’associer à la réussite d’un autre sans sa permission quand on y est pour rien. Je ne m’attribue pas le mérite des autres comme vous le faites. 

Et arrêtez d’en appeler à « la communauté humaine », vous qui stigmatisez des groupes ethnique et qui divisez cette communauté humaine en groupe qui n’ont qu’un sens esthétique.
.

« Il ne semble y avoir aucune corrélation entre les capacité d’une personne et son appartenance ethnique. »

Je vous ai déjà dit, mais je ne me lasse pas de le répéter, que les personnes ne m’intéressent pas, que je considère les peuples exclusivement et que les pays médiocres sont le produit de peuples médiocres.

« Vous parlez de peuple apathiques, fatalistes, désordonnés, espiègles et futiles, mais vous rendez vous compte que le peuple occidental ne correspond pas moins que n’importe quel peuple à cette description ? »

C’est à un propos comme celui-là qu’on reconnaît le type qui a énormément voyagé et encore plus observé   

« La puissance de l’occident vient simplement d’un effet boule de neige... »C’est cela même et l’impéritie des peuples du tiers monde tient au fait qu’il n’y a jamais eu assez de neige. pour « amorcer » la boule.

« Sinon, moi, dans ma famille, on a pas l’habitude de s’associer à la réussite d’un autre sans sa permission quand on y est pour rien. »

Permission écrite, j’imagine. Tout ça n’est pas très sérieux, restons-en là.

RECTIFICATION

« La puissance de l’occident vient simplement d’un effet boule de neige... »

C’est cela même et l’impéritie des peuples du tiers monde tient au fait qu’il n’y a jamais eu assez de neige pour « amorcer » la boule.

La notion de peuple médiocre n’a aucun sens. La réussite de l’occident ne vient pas du peuple, elle vient d’une minorité d’intellectuelle, principalement la communauté scientifique. C’est elle qui est à l’origine de la prodigieuse puissance de l’occident et de l’humanité. Et cette minorité est multi-ethnique depuis un moment. 

L’absence d’effet boule de neige dans certains pays ne vient pas de l’inaptitude du peuple à contenir des individus d’une intelligence exceptionnel, mais au fait que ces individus sont, quand ils sont repérés, en général pris par l’occident, au détriment de leur pays d’origine.

Par les aléas de l’histoire, certains pays ont un retard de quelques siècle sur nous. Mais la tendance peut s’inverser, rien ne s’y oppose. Nous n’avons pas toujours été à la pointe de la technologie, dans l’histoire. L’Asie, l’Afrique du nord, par exemple, nous ont, à divers moment de notre histoire, largement devancés. 

Regardez la France, elle arrive bien à voter pour un homme qui la trahis ouvertement pour son propre intérêt et celui de ses proches. De même, les USA ont quand même réussi à élire à 2 reprise W Bush, un raté qui ne doit son succès qu’à son statut de fils à papa. Pourtant, lors de sa réélection, il n’était pas dur de savoir qu’il avait mentie sur l’Irak. N’est ce pas là la preuve que les caucasiens blanc sont, tout autant, des « peuples médiocres » ?

« N’est ce pas là la preuve que les caucasiens blanc sont, tout autant, des « peuples médiocres » ? »

Absolument 

Et médiocres sur toute la ligne.

Un conseil pour conclure. Si vous ne le possédez pas, procurez-vous « De l’inégalité parmi les sociétés », de Jared Diamond (Gallimard 2000, pour l’édition française). Ouvrez l’ouvrage à la page 246 et reportez-vous au paragraphe qui commence par « Suivant un autre point de vue... », il est ensuite question de la « réceptivité des sociétés à l’innovation »... Vous devriez apprendre beaucoup de choses que vous ignorez....

Si le hasard y met du sien, nous pourrons peut-être reprendre un jour sur des bases un peu plus sérieuses.

J’avoue ne plus vous suivre. Si vous reconnaissez que tout les peuples sont médiocres (ce qui revient à dire que la notion de « peuple médiocre » n’a pas vraiment de signification, la médiocrité étant une chose relative), où trouvez vous les arguments pour justifier votre rejet du métissage ? Certainement pas auprès des auteurs que vous citez, ce sont des auteurs particulièrement anti-racistes.

Vous noyez le poisson, là, Bois-guibert. Votre thèse initial, telle que vous la présentiez, était que les civilisation s’affaiblissaient par le métissage. thèse raciste par définition même. Votre unique argument est « dans l’histoire, divers peuple métissé ont fais moins bien que d’autre civilisation (dont vous oubliez de préciser qu’elles sont peut être elle même des métissage) ». Je vous ai dit et répété que cet argument est fallacieux, car ne reposant sur aucune logique (cf mon exemple des voitures). Vous confondez coïncidence et relation causale.

C’est la dernière fois que je vous réponds, pour des raisons que je ne développerai pas.

Sans entrer dans les nuances, il y a des peuples qui sont entreprenants, ingénieux, inventifs, besogneux, efficaces et performants. On les reconnaît au degré de développement qu’ils ont atteint, à l’espérance de vie de leurs habitants, au degré de confort dont ils bénéficient et à la disparition de fléaux comme les grands épidémies et la famine.

Mais on les reconnaît aussi à la richesse du patrimoine qu’ils ont constitué depuis quelques milliers d’années et qu’ils continuent à enrichir dans les domaines de la connaissance, de la culture, de l’art, de l’industrie et des sciences.

Et puis il y a des peuples apathiques, fatalistes, désordonnés, espiègles et futiles qui ne sont rien de tout ce qui précède et qui se distinguent aussi par la maigreur du patrimoine qu’ils ont constitué au long de la même période que les précédents. Leur médiocrité n’a donc rien à voir avec une prétendue fuite des cerveaux, auxquels, le cas échéant, lesdits cerveaux se prêtent volontiers pour des questions de revenus et de niveau de vie.

Certains de ces peuples ont peut-être été quelque chose de plus il y a cinq cents, ou seront peut-être quelque chose de plus dans mille ans, ce n’est notre problème ni dans un cas ni dans l’autre.

Dans l’état où ils sont actuellement, nous n’avons aucun intérêt à les accueillir en nombre puisqu’ils porteraient gravement atteinte au niveau moyen du peuplement de nos pays, sur les plans économique, social, intellectuel et moral.

Si vous n’êtes pas d’accord avec moi, tant pis, je n’ai jamais songé vous convaincre de quoi que ce soit. Ce n’est pas maintenant que je vais commencer.

Sur ce, je vous souhaite d’excellentes vacances d’été.

P.S. « 　des auteurs que vous citez, ce sont des auteurs particulièrement anti-racistes.　 »

C’est précisément la raison pour laquelle je les pratique de préférence aux autres. N’étant pas raciste moi-même, leurs théories et leurs conclusions ne me dérangent en aucune manière tout en nourrissant ma réflexion de façon particulièrement roborative.

Mais vous êtes raciste, même si vous dites le contraires, bois-guibert. Prétendre qu’il y a des peuples entreprenant et d’autre qui ne le sont pas, c’est une absurdité raciste. J’ai montré à plusieurs reprise qu’associer les réussite d’un pays à son peuple était un raccourcis abusif. Ce n’est pas une opinion, c’est un fait.

Il y a des caractéristique dans des peuples, mais elles sont physiques, génétique, parfois culturelle (mais la culture d’un individus est chose variable), mais l’intelligence, l’innovation, le dynamisme, ce sont des caractéristique d’individus, non pas des caractéristique de peuple.

Si vous ne voulez pas répondre à ce poste, ce n’est pas un problème. Mais vous risquez de me retrouver, on ne peut pas laisser des post aussi dangereux que les vôtres (car il faut reconnaitre que vous êtes un bon orateur, un peu comme un moustachu que je ne nommerai pas ) circuler sans contradiction.

 J’ai montré à plusieurs reprise qu’associer les réussite d’un pays à son peuple était un raccourcis abusif.

Juste neuf mots et un nombre :

Jared Diamond - « De l’inégalité parmi les sociétés », page 246.

@ hubert

la populace de con. citoyen ne lisant plus ou ne lisant que les galimatiats des peoples...CALIXTHE BEYALA...PAR SES PLAGIATS.....donne accés a la litterature a un plus grand nombre......qui pensant lire du JOHNNY ? LISENT ROMAIN GARY sans le savoir.......