C’est la dernière fois que je vous réponds, pour des raisons que je ne développerai pas.
Sans entrer dans les nuances, il y a des peuples qui sont entreprenants, ingénieux, inventifs, besogneux, efficaces et performants. On les reconnaît au degré de développement qu’ils ont atteint, à l’espérance de vie de leurs habitants, au degré de confort dont ils bénéficient et à la disparition de fléaux comme les grands épidémies et la famine.
Mais on les reconnaît aussi à la richesse du patrimoine qu’ils ont constitué depuis quelques milliers d’années et qu’ils continuent à enrichir dans les domaines de la connaissance, de la culture, de l’art, de l’industrie et des sciences.
Et puis il y a des peuples apathiques, fatalistes, désordonnés, espiègles et futiles qui ne sont rien de tout ce qui précède et qui se distinguent aussi par la maigreur du patrimoine qu’ils ont constitué au long de la même période que les précédents. Leur médiocrité n’a donc rien à voir avec une prétendue fuite des cerveaux, auxquels, le cas échéant, lesdits cerveaux se prêtent volontiers pour des questions de revenus et de niveau de vie.
Certains de ces peuples ont peut-être été quelque chose de plus il y a cinq cents, ou seront peut-être quelque chose de plus dans mille ans, ce n’est notre problème ni dans un cas ni dans l’autre.
Dans l’état où ils sont actuellement, nous n’avons aucun intérêt à les accueillir en nombre puisqu’ils porteraient gravement atteinte au niveau moyen du peuplement de nos pays, sur les plans économique, social, intellectuel et moral.
Si vous n’êtes pas d’accord avec moi, tant pis, je n’ai jamais songé vous convaincre de quoi que ce soit. Ce n’est pas maintenant que je vais commencer.
Sur ce, je vous souhaite d’excellentes vacances d’été.
P.S. « des auteurs que vous citez, ce sont des auteurs particulièrement anti-racistes. »
C’est précisément la raison pour laquelle je les pratique de préférence aux autres. N’étant pas raciste moi-même, leurs théories et leurs conclusions ne me dérangent en aucune manière tout en nourrissant ma réflexion de façon particulièrement roborative.