@Traroth
DE
la nécessite de changer les choses :il y a . Appelons ça prémices
de révolution ( pas forcément à la 1789 , je vous pris de laisser
les événements sanglants qu’on vous a appris quelque instant de
coté ).
Toutes les révolutions de l’histoire ne furent
pas sanglantes : la question est c’est quoi une révolution
?
La révolution : c’est aussi le progrès, c’est l’avancée,
c’est donc aussi la science. C’est l’avance politique, sociale,
économique.
La révolution pour moi Traroth , la véritable
révolution : ce n’est pas faire de la politique pour espérer
faire de la justice.
La révolution, ça serait changer de
monnaie, d’économie. Il y a d’autres économies que le
capitalisme.
Ça, c’est la révolution. Si l’économie c’est
le pouvoir, changeons d’économie pour un système plus
juste.
Affirmons que le pouvoir politique en démocratie est
au citoyen , avec un pouvoir tout égal.
Réadmettons comme
les Grecques que l’éducation - culturel est aussi politique : est
c’est primordial pour les citoyens.
Qui doit aller de pair
avec un renforcement du pouvoir du citoyen : pour empêcher un retour
d’un pouvoir qui se concentrerait sur autre chose. (encore une fois
)
La révolution c’est pas renverser un pays, la révolution
c’est changer la vie, la société, changer de système.
QU’il
y ait eu de par le passé tout ce que vous dites , de ces
révolutionnaires ( une partie ) et souvent la tête, dans une
organisation hiérarchique, c’est vous résigner à vivre sous les
tyrans ? Est-ce que c’est raisonnable ? Accepter son sort
d’esclave ?
IL y a des organisations qui ne veulent pas de chef
: mettons qu’elle arrive à renverser de A a Z , une société.Tout
en étant claire sur sa volonté de justice et de démocratie avant
tout ( ce que n’était pas les communistes ou les bourgeois lumières
).
Est-ce que les conditions seraient identiques ?
Ou
est ce qu’il faut accepter son sort d’esclave, dans le meilleur des
mondes possibles ?