Pour résumer et faire suite à mes commentaires précédents.
Un combat politique, voire juridique c’est pot de terre contre pot de fer. Le seul « espace » qui me paraît au delà de la loi, est bien ce petit pré carré déontologique de la rencontre médicale.
Il présente l’avantage de ne pas troubler l’ordre public, et celui de la parfaite confidentialité également :
l’article L 3131-1 du Code de la santé publique précité
dispose que l’état d’urgence sanitaire ne dispense pas du respect de la
vie privée des personnes et de la confidentialité des informations
relatives à leur santé.
C’est aussi sûr et civique que d’être dans l’isoloir pour voter tranquillement. Résistance silencieuse en somme, et après le résultat ...
Le seul point « public » qui pourrait être attaqué, est me semble-t-il de nature philosophique, la doctrine « utilitariste ». Mais en avons-nous le temps ?
«
Les vaccins ont des effets négatifs sur beaucoup plus de gens que ce
que la régie de la Santé n’a jamais estimé. Pourtant on continue
d’adopter la position pseudo-morale de l’utilitarisme pour justifier de
ne pas effectuer les études scientifiques permettant d’identifier, qui
est à haut risque, qui au plan génétique et biologique risque de
souffrir de la vaccination et de ne pas être en mesure d’affronter une
vaccination. Consentez à dire, oui, mais c’est le prix à payer,
certains en souffrent, mais c’est pour le bien de la majorité. C’est
pourquoi je m’oppose à l’argument utilitariste dans toute politique
publique … parce c’est une forme dangereuse. »
Combien de personnes
peut-on sacrifier ? 500 ? 5000 ? 500.000 ? Combien de personnes peut-on
sacrifier au nom du bien commun … pour protéger le public de la maladie
? »
(Retranscription
citations Barbara Léo Fischer, présidente NVIC (centre national
d’information sur la vaccination - Vienna, USA - Vidéo « Silence on vaccine »).
Note : L’utilitarisme est une doctrine éthique qui prescrit d’agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être du plus grand nombre des êtres sensibles. Elle est l’idée que la valeur morale d’une action est déterminée uniquement par sa contribution à l’utilité générale. Jeremy Bentham (1748-1832) est le premier grand théoricien de l’utilitarisme, elle constitue le fondement de la philosophie morale et juridique anglo-saxonne depuis la fin du xviiie siècle.
La doctrine utilitariste repose sur deux grands principes énoncés par Bentham.
> D’une part, le principe du « calcul des plaisirs et des peines »
: l’homme est un être qui recherche le bonheur et celui-ci peut être
obtenu par un calcul rationnel consistant à maximiser les plaisirs et
minimiser les peines.
> D’autre part, le principe du « plus grand bonheur du plus grand nombre ».
Bentham,
sensible à la justice sociale et au bonheur commun, considère que les
actions justes sont celles qui contribuent à accroître le bonheur du
plus grand nombre.
Bonne méditation.
16/09 17:25 - Doudou
Partie 2 Je pourrais continuer comme cela encore des heures. Mais je m’arrête là, car les (...)
16/09 17:23 - Doudou
Bonjour, je vous fait part d’un courriel que je viens de reçevoir, il est lourd, donc en (...)
06/09 13:13 - johnford
Oui la réduction de la démographie est un projet mais avec le vaccin ce serait sur du long (...)
22/08 00:39 - Aimée
Bonjour tout le monde : VOUS VOULEZ AIDER A COMBATTRE CE VACCIN ET APPORTER VOTRE (...)
08/08 20:10 - persea
08/08 20:06 - persea
De même j’ai eu la grippe hivernale la saison dernière, elle est passée si vite que je (...)
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