D’ailleurs ce gouvernement, un peu indécent, a même décrété un jour de deuil national pour les policiers tués au cours des « opérations de nettoyage », et promulgua dans la foulée une loi exceptionnelle, statuant, légalement et d’une manière non contradictoire (...) RAMILA
RAMILA , d’accord en grande partie sur cet article. OK
MAIS... votre silence assourdissant sur ce qui se passe dans certaines contrées du monde ne plaide pas en votre faveur... vous n’êtes tout simplement pas crédible.
La lapidation : [images insoutenables]
L’homme et la femme adultères, vêtus d’un linceul, sont enterrés dans un trou rempli de sable, l’homme jusqu’à la taille avec les bras dégagés, la femme jusqu’au-dessus des seins, et ils sont lapidés.
La séance de lapidation est publique. Le code pénal de la République Islamique, articles 102 et 104, définit les conditions de la lapidation : « Les pierres utilisées pour infliger la mort par lapidation ne devront pas être grosses au point que le condamné meure après en avoir reçu une ou deux. Elles ne devront pas non plus être si petites qu’on ne puisse leur donner le nom de pierre. La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance ».
Les lapideurs doivent rester à distance d’une quinzaine de mètres de leur cible et choisir avec soin leurs pierres : Les pierres coupantes sont choisies pour leurs arrêtes effilées qui provoquent les saignements les plus spectaculaires. Une pierre coupante doit de préférence être lancée au visage du condamné. Les pierres rondes nécessitent moins de précision car elles sont efficaces partout. Elles sont idéales pour briser les os et provoquer les hémorragies internes fatales.