Le livre de Sand a ete critique sur le fond et rejete par tous les historiens de la question.
Le fait que Sand ne connaisse rien a la question
n’est pas un détail ; le fait qu’il affirme lui-même que son livre est
motive par son idéologie anti-sioniste (il n’est pas « de gauche » il est
d’extreme-gauche au fait) ne peut être ignore.
Si vous voulez quelques
sources, en voici quelques unes trouvées en quelques secondes de
recherche :
Et je n’entre pas dans la problématique des études ADN de génétique des populations qui réduisent toute sa thèse a néant, mais que Sand ignore volontairement.
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Le livre de Sand manifeste là l’indigence de son « épistémologie ». Sand est un « moderne ». Il voudrait devenir le Michel Foucault du XXIe siècle. Il espère, en proclamant que le peuple juif est une « invention du XIXe siècle », reproduire, en le mimant, le Foucault de jadis affirmant que l’homme était « une invention récente ».
Or
c’est sur ce point que le livre de Sand se révèle vide.
Car s’il dénie
aux juifs une aspiration, qu’ils n’ont jamais eue comme peuple, à se
constituer en race, il ne déconstruit pas la notion de race.
Au contraire, il lui confère, à dessein ou non, un statut de vérité qui se donne comme vérité ultime. En effet, la conclusion, proprement perverse, de son livre est d’attribuer au peuple palestinien ce qui a été dénié aux juifs, à savoir qu’ils sont - eux, les Palestiniens - les vrais descendants génétiques des Hébreux originaires !
Cet
épilogue est le révélateur de la finalité du livre.
On y trouve le principe mythologique de l’inversion dont le peuple juif est la victime coutumière :
les juifs deviennent des non-juifs et les Palestiniens les juifs génétiques.
On peut, dès lors, en déduire qui est l’occupant légitime du pays.
En ne déconstruisant pas radicalement la notion d’héritage génétique, en en faisant, au contraire, bénéficier le peuple palestinien, Sand révèle tout l’impensé qui obscurément pourrit ce qu’il tient pour être une entreprise libératrice.
Il montre que la méthode substitutive qu’il emploie est tout simplement mystificatrice, et ce d’autant plus qu’elle voudrait être au service de l’entente entre les ennemis.
Nier l’identité juive est une vieille marotte,
aujourd’hui parasite obstiné de la pensée contemporaine. D’où vient ce
vertige du négatif ? On l’aura compris en lisant le livre de Shlomo
Sand : d’un désir obscur de faire des juifs de purs fantômes, de
simples spectres, des morts-vivants, figures absolues et archétypales
de l’errance, figures des imposteurs usurpant éternellement une
identité manquante.
Eternelle obsession qui, loin de s’éteindre, ne cesse de renaître avec, désormais, un nouvel alibi mythologique : les Palestiniens.
13/08 02:47 - CASS.
13/08 02:26 - CASS.
ce sont des sionistes qui mon collé -2 , ben oui la vérité les dérange c’est (...)
13/08 02:22 - CASS.
La population arabophonisée de Palestine, nuance. De plus ce ishrael est plutôt la nouvelle (...)
12/08 16:39 - CASS.
et le peuple proto indo europeen , persan ou sanskrit , vous en pensez quoi philbrasov, car en (...)
12/08 16:19 - CASS.
les philbrasov par ex , vont dire que le jew anti sioniste n’est pas jew, que seul les (...)
12/08 15:33 - CASS.
Fredéric lyon : philistin = pharisaÏsme prosélyte, rebaptisé juda = judaîsme prosélyte par un (...)
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