Il y a une perte des valeurs dans cette société, elle s’exprime de diverses manières et notamment par des dégradations, nos contrariétés, nos humeurs, ou colères se transforment en exutoire contre la société et ce qu’elle représente à nos yeux coupables de nos déceptions ou de nos échecs, avec un certain sentiment de vengeance et d’impunité, une perte de sens moral cette manière de faire est une façon de rendre la justice (sa justice) a bon compte de se transformer en monsieur loyal qui arbitrerait pour fautes commises.
Relayé par l’assentiment et l’encouragement de personnes se sentant solidaire de petites frustrations du quotidien. Le non-respect pour le bien public a évolué avec la société elle est le reflet contemporain de notre mode de vie, de l’éducation, des valeurs que l’on a trop souvent raillées comme étant ringardes ou désuètes, ou il était de bon ton depuis 68 de tout contester, nos modes de vies, les valeurs, les traditions archaïques.
Petit a petit la société c’est transformé, il a fallu créer la loi anti-casseur pour freiner les abus, ainsi de fil en aiguille, même si une certaine forme de vandalisme a du certainement plus ou moins exister de tout temps, elle s’est développé et a fait insidieusement le lit de la modernité, avec un irrespect pour tout objets ou autorités sensées représenter toutes formes de soumission a un ordre établie, a une hiérarchie, c’est un moyen identaire, et communautaire de s’exprimer, de dénoncer, un mode de vie dont on conteste les fondements, et dont on s’identifie en victime potentielle.
Plus une forme de fatalisme face aux formes répétés d’actes d’incivilités comme étant le lot commun a payer a la modernité et a l’évolution de notre société.