@ Christian NGONGO.
« Même si ce sont le RG qui le disent, je suis sceptique. Les jeunes issus de l’immigration n’ont pas le monopole du vandalisme au sens simple. »
C’est par rapport à mon commentaire que vous dites ça ?
Si la réponse est affirmative, alors je dirais un peu de oui et beaucoup de non.
Beaucoup de non, parce que d’une part, quand j’emploie le terme racaille, je ne désigne absolument pas les jeunes issus de l’immigration, (dont je fais d’ailleurs parti), mais les jeunes délinquants de banlieue. Certes, il y a beaucoup de jeunes issus de l’immigration dans cette population, mais pas certainement pas « tous » et pas « que ».
Et non aussi, parce que d’autre part, j’ai participé il y a quelques années à la soirée open bar de fin d’année d’une grande école de commerce. De toute ma vie (et j’ai grandi en ZEP), j’ai rarement vu une porcherie pareille. Je ne suis pas prèt d’oublier cette fille en talons aiguilles qui dansait debout sur un piano en bois vernis. Je vous raconte pas les impacts dans sur le volet.
Mais bon, un peu oui quand même, parce que, par rapport à cette table dont j’évoquais le souvenir plus haut, la racaille de banlieue, majoritairement issu de l’immigration (même si ne contenant pas du tout toute l’immigration, loin de là), est bien la seule population, en France, à l’heure actuelle, capable de faire bruler une table en pleine après midi, dans un square, avec des mamans, leurs pousettes et leurs enfants dans les bacs à sable autour.
Et ça, j’ai pas besoin des RG pour le constater.
Cela dit, si votre commentaire était pour quelqu’un d’autre, mon erreur m’aura au moins permis d’affiner ce que j’avais à dire, et j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.
Ah, et @ Lebaron :
Oui, il y des Ngongo français, avec un sens de la citoyenneté largement égal à celui de n’importe qu’elle français de souche, et donc de fait, un citoyenneté tout aussi légitime que la votre.