Visiblement je vous ai blessé. J’en suis navré.
Ma précédente réponse faisait écho à votre affirmation du « mépris de l’intelligence ».
Alors j’étaye un peu.
-« Vous n’avez pas travaillé durant vos études ? Mais vous êtes une vraie couleuvre ! »
Celà montre que vous n’avez aucune connaissance de l’entreprise.
Les emplois étudiants sont en général des emplois de base. Ils sont donc formateurs quant à la hiérarchie et la dureté du travail.
D’ailleurs les écoles d’ingénieur imposent des stages ouvriers en première année.
Ne pas avoir fait d’emploi étudiant est une vraie faiblesse.
-« Vous êtes très intelligent. Mais moi, je ne veux pas de gens intelligents. Je veux des gens qui bossent. »
-« Vous êtes un mouton à cinq pattes ».
Lorsque l’on ouvre un poste, on evite les gens surqualifiés. Tout simplement on sait très bien qu’ils continueront à chercher une opportunité plus en adequation avec leurs diplomes et qu’ils sont là de façon purement alimentaire.
-« Vous parlez cinq langues, qu’est-ce que vous voulez que ça me foute ? »
Un emploi c’est pour remplir une fonction. Pour cette fonction on a besoin de compétences. Les compétences qui dépasse le cadre du nécessaire ne sont pas valorisables : si mes clients parlent francais, le fait que vous parliez espagnol ne me permettra pas de vendre plus cher. Donc je ne peux pas vous payer plus cher.
-« 1000 euros par mois, c’est déjà très bien pour rester assis le cul sur une chaise. »
Un salaire c’est la contre partie d’une valeur ajoutée.
Quel était la tache à accomplir et quelle était sa valeur ajoutée ? Pour 1000 euros net il faut plus de 2000 euros de valeur ajoutée.
Votre florilège n’en est pas un. L’entreprise à une logique à laquelle vous êtes étranger. c’est tout.