le FN a déjà été au pouvoir dans plusieurs villes... et cela c’est terminé, également, avec quelques scandales financiers et malversations (voire des morts suspectes)... Vitrolles ; Toulon ; Orange ... etc..
Les élus du FN, comme d’autres politicards de droite et de gôche, savent retourner leurs vestes... toujours du bon côté et dans LEUR intérêt !
Dans de nombreuses communes, les candidats du Front national, ont décidé de changer de camp.
C’est le cas par exemple du maire nationaliste d’Orange, Jacques Bompard qui a rejoint le Mouvement pour la France.
De son côté, le lepéniste Jacques Peyrat a été élu maire en 1995 à Nice en tant que FN mais a, par la suite, adhéré au RPR puis à l’UMP.
A Vitrolles où a été élu maire Bruno Mégret, deux anciens lepénistes, Alain Césari et Norbert Rodriguez, adhérents depuis au Mouvement pour la France, ont rallié la liste UMP de Christian Borelli.
Si les candidats extrémistes n’ont pas de mal à rallier la droite, il semble que l’UMP ne pose pas de difficultés à les accepter sur leur liste électorale.
C’est le cas de Sylvie Barthélémy, candidate UMP à Aubagne, qui approuve le courage et le militantisme de Jean-Dominique Roubaud, ex-FN, rallié au MPF.
Enfin, dans certaines villes, quelques lepénistes ont quitté le parti pour se présenter sous l’étiquette Centre national des indépendants et paysans (CNI), parti associé à l’UMP. Plusieurs candidats se retrouvent dans ce cas de figure comme dans le Calvados.