« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas mal du sort des français et des juifs, sont devenus les ennemis des allemands.
Il se trouve donc qu’à cette époque, les seuls qui défendaient la France contre l’ennemi étaient les gens de droite.
Des pourris il y en a eu de partout je vous l’accorde. Mais vous êtes un faussaire de l’histoire. »
Salut internaute,
tien un peu de lecture, tu verras au fond il y a des commentaires !
L’Aide Rouge ("Die
Rote Hilfe")
Ce groupe, fondé à Paris par le résistant communiste Wilhelm
Beuttel, soutenait des personnes persécutées par le régime
national-socialiste. Wilhelm Beuttel, qui était retourné en 1942 en
Allemagne, travailla dans le groupe de résistance de Wilhelm Knöchel.
Il fut arrêté par la Gestapo en 1943 et exécuté en 1944.
Le groupe de Wilhelm Knöchel dans
la Ruhr
Wilhelm Knöchel, qui dirigeait depuis 1935 le comité exilé du
KPD à Amsterdam, rentra en 1941 en Allemagne pour réorganiser la
résistance communiste dans la Ruhr. Son organisation diffusa
clandestinement une publication antinazie, Le Combattant de la Paix
(« Der Friedenskämpfer »), qui informait les Allemands
des crimes commis par les nazis et de la situation internationale, et
les incitait à se soulever contre Hitler, afin de renverser
eux-mêmes la dictature nazie. Wilhelm Knöchel fut arrêté par la
Gestapo en 1943 et fut exécuté en 1944, et son organisation fut
démantelée. Une cinquantaine de résistants qui travaillaient dans
ce groupe furent également arrêtés, torturés et assassinés.
Le groupe de Josef
(Beppo) Römer
Josef Römer publia à la fin des
années 20 un journal communiste, Élan nouveau (« Aufbruch ») ;
il fut arrêté en mars 1933 et passa six ans en camp de
concentration. Après sa libération, il tenta d’organiser un attentat
contre Hitler et prit contact avec le cercle de résistance de Adam
von Trott zu Solz et celui de Robert Uhrig. En 1940, il créa un
groupe de résistance qui diffusait un journal clandestin, Service
de renseignements (« Informationsdienst »). Il fut
arrêté en 1942 et exécuté en 1944.
Le groupe de Robert Uhrig à Berlin
Robert Uhrig fut arrêté une première fois en 1934, parce qu’il
avait diffusé un journal clandestin et qu’il avait récolté des
fonds pour les familles de victimes des persécutions nazies. Il fut
libéré après 21 mois de travaux forcés et créa une organisation
de résistance en 1938 à Berlin ; son
objectif était de former des groupes de résistants communistes au
sein des entreprises. A partir de 1941, le groupe, qui comptait une
centaine de membres en 1940, et le double en 1942, a travaillé avec
d’autres mouvements, notamment l’organisation
Harnack / Schulze-Boysen, afin
de mettre en place un service de renseignements. La Gestapo a
démantelé l’organisation en 1942 ; une centaine de résistants,
dont Robert Uhrig, furent arrêtés, torturés, déportés en camp de
concentration, et furent
exécutés en 1944. Leur famille fut également arrêtée. Ceux qui purent échapper
aux persécutions se
joignirent au groupe de Anton Saefkow.
Le groupe de Walter Budeus
En 1936, Walter Budeus créa dans l’entreprise de métallurgie dans
laquelle il travaillait une organisation composée d’une cinquantaine
de résistants. A la fin des années 30, il prit contact avec Robert
Uhrig et Beppo Römer, afin de coordonner les activités des
différents groupes. Leur travail consistait à collecter des
informations sur l’industrie de guerre, diffuser des tracts et prendre
contact avec d’autres groupes de résistance. Walter Budeus fut
arrêté en 1942 et condamné à mort en 1944.
Le groupe de Bernhard Bästlein,
Oskar Reincke et Franz Jacob à Hambourg
En 1941-42, à leur libération de camp de concentration, Bernhard
Bästlein,
Oskar Reincke et Franz Jacob fondèrent une organisation de
résistance au sein des chantiers navals de Hambourg. Ce
groupe, qui diffusait des tracts antifascistes et envoyait des lettres
aux soldats stationnés au front de l’Est pour les inciter à refuser
de combattre, était en contact avec d’autres mouvements de
résistance, notamment l’organisation Harnack / Schulze-Boysen.
Arrêtés par la Gestapo en 1943, ils purent profiter des
bombardements alliés pour s’échapper et entrer dans la
clandestinité. Mais arrêtés à nouveau en 1944, une soixantaine de
résistants furent exécutés en 1944-45.
Le groupe de Anton
Saefkow et Franz
Jacob à Berlin
Fondé en 1943, ce groupe diffusa des tracts antifascistes et prit contact
en 1944 avec
Julius Leber et Adolf Reichwein, des résistants sociaux-démocrates
qui prenaient part au complot qui préparait l’attentat du 20 juillet
1944 contre Hitler. La Gestapo, qui avait infiltré un espion dans
cette organisation, arrêta le 22 juin 1944 Anton Saefkow, Franz Jacob, Julius
Leber et Adolf Reichwein. Des centaines de résistants de ce groupe
furent arrêtés et assassinés.
Le groupe de Theodor Neubauer et
Magnus Poser en Thuringe
Cette organisation, créée en 1942, était en contact avec d’autres groupes de
résistance, par exemple avec un groupe de l’université de Iéna,
ainsi qu’avec un groupe du camp de concentration de Buchenwald, et put
ainsi envoyer de la nourriture, des tracts, mais aussi des
armes aux prisonniers. Theodor Neubauer, qui avait été interné
plusieurs années en camp de concentration avant de créer ce groupe
de résistance, fut arrêté en 1944 et exécuté en 1945.
Le groupe de Georg Schumann et Otto
Engert à Leipzig
Ce groupe était en contact avec des prisonniers de guerre russes
et des travailleurs de force étrangers, ainsi qu’avec l’organisation
de Harro Schulze-Boysen, celle de Theodor Neubauer et Magnus Poser en
Thuringe et celle de Anton
Saefkow à Berlin. L’objectif
principal du groupe de Leipzig était d’unifier les divers mouvements
de résistance communistes, mais cette tentative ne put aboutir en
raison de la surveillance qu’exerçait la Gestapo.
Comité national de l’Allemagne
libre (Nationalkomitee Freies Deutschland", NKFD)
Ce comité fut fondé en 1943 par la section politique de l’armée
soviétique et par le comité central du KPD exilé à Moscou ;
ses objectifs étaient, au moyen d’un travail de propagande, de détourner
les prisonniers de guerre allemands du nazisme et d’encourager les
soldats allemands à déserter. Le NKFD tentait de rallier toutes les
tendances politiques à l’union contre Hitler ; dans ses rangs,
on ne comptait pas uniquement des communistes, mais aussi, par
exemple, une centaine de pasteurs, prêtres et étudiants en théologie
de la Wehrmacht, prisonniers dans les camps russes, qui se sont joints
au NKFD en raison des persécutions dont étaient victimes les
Églises dans le Reich. Les communistes, notamment Wilhelm Pieck et
Walter Ulbricht, futurs dirigeants de la RDA, ont finalement pris
la tête du NKFD, qui est devenu un instrument de propagande entre
les mains du gouvernement soviétique.
L’organisation Allemagne libre ("Freies
Deutschland")
Ce groupe, fondé à Cologne en 1943 par un réseau de résistants
communistes, comptait plus de deux cents membres, et rassemblait des
résistants de tous les horizons politiques et idéologiques. Des
tracts incitant la population allemande à commettre des sabotages,
afin d’enrayer la machine de guerre nazie, et encourageant les soldats
à déserter, furent distribués, et les résistants apportèrent leur aide aux travailleurs de force étrangers
prisonniers en Allemagne. La Gestapo arrêta de nombreux membres du
groupe, qui se disloqua progressivement.
Parti communiste allemand
oppositionnel ("Kommunistische Partei Deutschlands
(Opposition), KPO)
L’aile droite du KPD avait été exclue du parti en 1928 et avait
fondé une organisation communiste indépendante, le KPO. Après
l’arrivée au pouvoir de Hitler, seuls quelques militants désignés
par les cadres du parti s’exilèrent en France, où ils fondèrent un
comité exilé (« Auslandskomitee », AK) en contact,
grâce à un réseau de messagers, avec la base du parti, qui
poursuivait clandestinement ses activités en Allemagne. Un comité du
KPO, qui siégeait à Berlin, se chargeait de coordonner les
activités des cellules locales du parti. La structure à la fois
hiérarchisée et morcelée du parti permit d’éviter les grandes
rafles de la Gestapo. Les objectifs principaux du KPO étaient de
transmettre des informations sur le régime hitlérien et de
travailler en collaboration avec les résistants exilés à l’union
des travailleurs contre le nazisme. Des tracts furent distribués, et
les membres du parti avaient pour mission de créer des syndicats
clandestins dans les entreprises dans lesquelles ils travaillaient.
Lorsque le contact avec le comité exilé fut rompu en raison de
l’occupation de la France par les troupes allemandes, le KPO prit
contact avec d’autres organisations de travailleurs, notamment avec
les sociaux-démocrates, afin de créer des syndicats clandestins, et
de distribuer des tracts visant à mobiliser la population allemande
contre Hitler.
L’Orchestre Rouge ("die Rote
Kapelle")
A partir de la fin de l’année 1941,
l’organisation Harnack / Schulze-Boysen coopéra avec les bureaux
des renseignements soviétiques de Paris et Bruxelles, sans que ses
membres deviennent pour autant des agents soviétiques et perdent leur indépendance,
comme les autorités nazies l’ont prétendu par la suite. La Gestapo nomma
ce groupe de résistance L’Orchestre Rouge ("die Rote
Kapelle").
Le groupe de Herbert et Marianne
Baum
Herbert Baum et sa femme Marianne, qui luttaient depuis 1933 au
sein des jeunesses communistes, fondèrent en 1938-39 un groupe de résistance,
dont les membres, des adolescents juifs proches du communisme,
diffusèrent des tracts antifascistes et mirent le feu à une
exposition anticommuniste organisée à Berlin dans le cadre de la
propagande nazie, Le Paradis soviétique ("Das
Sowjetparadies"). Les jeunes gens furent arrêtés en
1942 ; une vingtaine d’entre eux furent exécutés, certains,
comme Herbert Baum, se suicidèrent dans leur cellule, et les autres
résistants moururent en camp de concentration. Les représailles de
la Gestapo ne s’arrêtèrent pas là : 500 juifs berlinois furent
déportés en camp de concentration à la suite de cette action.
______________________________________________________________________
Petit commentaire :
Comme tu le dis si bien :
« Mais vous êtes un faussaire de l’histoire ».
Pour ça là :
« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas mal du sort des français et des juifs, sont devenus les ennemis des allemands.
Il se trouve donc qu’à cette époque, les seuls qui défendaient la France contre l’ennemi étaient les gens de droite ».
Toutes les familles te remercie, la famille Moulin (jean) et toute les familles communistes Française et autres qui ont combattu les nazies et leurs idées, merci pour tes propos internaute, sympa de ta part !
A oui aussi j’avais oublier de cracher sur ta crédibilité comme tu viens si bien de cracher sur ces pauvres combattants mort au combat et leur famille !
Quand tu dis ça :
« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas mal du sort des français et des juifs, sont devenus les ennemis des allemands »
Comme t’as du constater ta connerie avoir pris acte des lectures que je viens de t’apporter, tu sais ça : « Ce n’est qu’en 1942 que les cocos sont devenu les ennemis des Allemands », alors déjà on ne dit pas les allemands mais les nazies ou les pourries si tu préfères, et oui t’as vue les noms (photos) des camarades communistes Allemand ci-dessus qui sont morts contre les nazies comme quoi tout les Allemands n’était pas des pourritures de nazies !
Et puis ça aussi : je la reprends ta phrase : « Ce n’est qu’en 1942 que les cocos sont devenues les ennemis des Allemands »
Guy Môquet, né à Paris le 26 avril 1924 et mort le , 22 octobre 1941 est un militant , communiste célèbre pour être le plus jeune des vingt-sept otages du camp de châteaubriant (Loire inférieur), fusillés en ]représailles après la mort de Karl hotz. Il est passé dans l’histoire comme un des symboles de la Résistance Française .
Comme tu le dis c’est vrai que les communistes ne sont devenus ennemi des nazies qu’en 1942, sauf que le pauvre guy Môquet et mort le 22 octobre 1941 !
On te remercie par la même occasion pour lui d’avoir dit haut et fort ce que tout nous a dit :
Et après ça vient dire aux autres qu’ils sont des faussaires de l’histoire en blasphémant sur tout ces pauvres combattants, mort ou vivant nos pauvres combattants qui se sont battus pour leur liberté, celle des autres et la notre, une honte ! Une honte !!! Honte à toi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
08/07 15:15 - Ahriman
C’est marrant, hein, même quand on précise qu’on écrit n’importe quoi, (...)
08/07 11:35 - Nobody knows me
L’erreur a toujours été de croire que tous les électeurs du FN sont des racistes. Je (...)
08/07 01:05 - Gabriel
« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas (...)
07/07 22:23 - Gabriel
P’tain manu, t’as oublier l’humour, ou t’as oublier la signification (...)
07/07 20:09 - appoline
@ Emmanuel Goldstein, « L’Etat n’a pas envie de financer les associations « biere (...)
07/07 18:36 - Cascabel
@ Internaute On pourrait citer le colonel de la Roque, résistant de la première heure, (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération