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Commentaire de Gabriel

sur Hénin-Beaumont : le théâtre antifasciste devient grotesque


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Gabriel Gabriel 8 juillet 2009 01:05

« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas mal du sort des français et des juifs, sont devenus les ennemis des allemands.

Il se trouve donc qu’à cette époque, les seuls qui défendaient la France contre l’ennemi étaient les gens de droite.

Des pourris il y en a eu de partout je vous l’accorde. Mais vous êtes un faussaire de l’histoire. »

Salut internaute,

tien un peu de lecture, tu verras au fond il y a des commentaires !

L’Aide Rouge ("Die Rote Hilfe")
Ce groupe, fondé à Paris par le résistant communiste Wilhelm Beuttel, soutenait des personnes persécutées par le régime national-socialiste. Wilhelm Beuttel, qui était retourné en 1942 en Allemagne, travailla dans le groupe de résistance de Wilhelm Knöchel. Il fut arrêté par la Gestapo en 1943 et exécuté en 1944.
 

Le groupe de Wilhelm Knöchel dans la Ruhr
Wilhelm Knöchel, qui dirigeait depuis 1935 le comité exilé du KPD à Amsterdam, rentra en 1941 en Allemagne pour réorganiser la résistance communiste dans la Ruhr. Son organisation diffusa clandestinement une publication antinazie, Le Combattant de la Paix (« Der Friedenskämpfer »), qui informait les Allemands des crimes commis par les nazis et de la situation internationale, et les incitait à se soulever contre Hitler, afin de renverser eux-mêmes la dictature nazie. Wilhelm Knöchel fut arrêté par la Gestapo en 1943 et fut exécuté en 1944, et son organisation fut démantelée. Une cinquantaine de résistants qui travaillaient dans ce groupe furent également arrêtés, torturés et assassinés.
 

Le groupe de Josef (Beppo) Römer
Josef Römer publia à la fin des années 20 un journal communiste, Élan nouveau (« Aufbruch ») ; il fut arrêté en mars 1933 et passa six ans en camp de concentration. Après sa libération, il tenta d’organiser un attentat contre Hitler et prit contact avec le cercle de résistance de Adam von Trott zu Solz et celui de Robert Uhrig. En 1940, il créa un groupe de résistance qui diffusait un journal clandestin, Service de renseignements (« Informationsdienst »). Il fut arrêté en 1942 et exécuté en 1944.
 

Le groupe de Robert Uhrig à Berlin
Robert Uhrig fut arrêté une première fois en 1934, parce qu’il avait diffusé un journal clandestin et qu’il avait récolté des fonds pour les familles de victimes des persécutions nazies. Il fut libéré après 21 mois de travaux forcés et créa une organisation de résistance en 1938 à Berlin ; son objectif était de former des groupes de résistants communistes au sein des entreprises. A partir de 1941, le groupe, qui comptait une centaine de membres en 1940, et le double en 1942, a travaillé avec d’autres mouvements, notamment l’organisation Harnack / Schulze-Boysen, afin de mettre en place un service de renseignements. La Gestapo a démantelé l’organisation en 1942 ; une centaine de résistants, dont Robert Uhrig, furent arrêtés, torturés, déportés en camp de concentration, et furent exécutés en 1944. Leur famille fut également arrêtée. Ceux qui purent échapper aux persécutions se joignirent au groupe de Anton Saefkow.
 

Le groupe de Walter Budeus
En 1936, Walter Budeus créa dans l’entreprise de métallurgie dans laquelle il travaillait une organisation composée d’une cinquantaine de résistants. A la fin des années 30, il prit contact avec Robert Uhrig et Beppo Römer, afin de coordonner les activités des différents groupes. Leur travail consistait à collecter des informations sur l’industrie de guerre, diffuser des tracts et prendre contact avec d’autres groupes de résistance. Walter Budeus fut arrêté en 1942 et condamné à mort en 1944.
 

Le groupe de Bernhard Bästlein, Oskar Reincke et Franz Jacob à Hambourg
En 1941-42, à leur libération de camp de concentration, Bernhard Bästlein, Oskar Reincke et Franz Jacob fondèrent une organisation de résistance au sein des chantiers navals de Hambourg. Ce groupe, qui diffusait des tracts antifascistes et envoyait des lettres aux soldats stationnés au front de l’Est pour les inciter à refuser de combattre, était en contact avec d’autres mouvements de résistance, notamment l’organisation Harnack / Schulze-Boysen. Arrêtés par la Gestapo en 1943, ils purent profiter des bombardements alliés pour s’échapper et entrer dans la clandestinité. Mais arrêtés à nouveau en 1944, une soixantaine de résistants furent exécutés en 1944-45.

Le groupe de Anton Saefkow et Franz Jacob à Berlin
Fondé en 1943, ce groupe diffusa des tracts antifascistes et prit contact en 1944 avec Julius Leber et Adolf Reichwein, des résistants sociaux-démocrates qui prenaient part au complot qui préparait l’attentat du 20 juillet 1944 contre Hitler. La Gestapo, qui avait infiltré un espion dans cette organisation, arrêta le 22 juin 1944 Anton Saefkow, Franz Jacob, Julius Leber et Adolf Reichwein. Des centaines de résistants de ce groupe furent arrêtés et assassinés.
 

Le groupe de Theodor Neubauer et Magnus Poser en Thuringe 
Cette organisation, créée en 1942, était en contact avec d’autres groupes de résistance, par exemple avec un groupe de l’université de Iéna, ainsi qu’avec un groupe du camp de concentration de Buchenwald, et put ainsi envoyer de la nourriture, des tracts, mais aussi des armes aux prisonniers. Theodor Neubauer, qui avait été interné plusieurs années en camp de concentration avant de créer ce groupe de résistance, fut arrêté en 1944 et exécuté en 1945.

Le groupe de Georg Schumann et Otto Engert à Leipzig
Ce groupe était en contact avec des prisonniers de guerre russes et des travailleurs de force étrangers, ainsi qu’avec l’organisation de Harro Schulze-Boysen, celle de Theodor Neubauer et Magnus Poser en Thuringe et celle de Anton Saefkow à Berlin. L’objectif principal du groupe de Leipzig était d’unifier les divers mouvements de résistance communistes, mais cette tentative ne put aboutir en raison de la surveillance qu’exerçait la Gestapo.

Comité national de l’Allemagne libre (Nationalkomitee Freies Deutschland", NKFD)
Ce comité fut fondé en 1943 par la section politique de l’armée soviétique et par le comité central du KPD exilé à Moscou ; ses objectifs étaient, au moyen d’un travail de propagande, de détourner les prisonniers de guerre allemands du nazisme et d’encourager les soldats allemands à déserter. Le NKFD tentait de rallier toutes les tendances politiques à l’union contre Hitler ; dans ses rangs, on ne comptait pas uniquement des communistes, mais aussi, par exemple, une centaine de pasteurs, prêtres et étudiants en théologie de la Wehrmacht, prisonniers dans les camps russes, qui se sont joints au NKFD en raison des persécutions dont étaient victimes les Églises dans le Reich. Les communistes, notamment Wilhelm Pieck et Walter Ulbricht, futurs dirigeants de la RDA, ont finalement pris la tête du NKFD, qui est devenu un instrument de propagande entre les mains du gouvernement soviétique.
 

L’organisation Allemagne libre ("Freies Deutschland")
Ce groupe, fondé à Cologne en 1943 par un réseau de résistants communistes, comptait plus de deux cents membres, et rassemblait des résistants de tous les horizons politiques et idéologiques. Des tracts incitant la population allemande à commettre des sabotages, afin d’enrayer la machine de guerre nazie, et encourageant les soldats à déserter, furent distribués, et les résistants apportèrent leur aide aux travailleurs de force étrangers prisonniers en Allemagne. La Gestapo arrêta de nombreux membres du groupe, qui se disloqua progressivement. 


Parti communiste allemand oppositionnel ("Kommunistische Partei Deutschlands (Opposition), KPO)
L’aile droite du KPD avait été exclue du parti en 1928 et avait fondé une organisation communiste indépendante, le KPO. Après l’arrivée au pouvoir de Hitler, seuls quelques militants désignés par les cadres du parti s’exilèrent en France, où ils fondèrent un comité exilé (« Auslandskomitee », AK) en contact, grâce à un réseau de messagers, avec la base du parti, qui poursuivait clandestinement ses activités en Allemagne. Un comité du KPO, qui siégeait à Berlin, se chargeait de coordonner les activités des cellules locales du parti. La structure à la fois hiérarchisée et morcelée du parti permit d’éviter les grandes rafles de la Gestapo. Les objectifs principaux du KPO étaient de transmettre des informations sur le régime hitlérien et de travailler en collaboration avec les résistants exilés à l’union des travailleurs contre le nazisme. Des tracts furent distribués, et les membres du parti avaient pour mission de créer des syndicats clandestins dans les entreprises dans lesquelles ils travaillaient. Lorsque le contact avec le comité exilé fut rompu en raison de l’occupation de la France par les troupes allemandes, le KPO prit contact avec d’autres organisations de travailleurs, notamment avec les sociaux-démocrates, afin de créer des syndicats clandestins, et de distribuer des tracts visant à mobiliser la population allemande contre Hitler.
 

L’Orchestre Rouge ("die Rote Kapelle")
A partir de la fin de l’année 1941, l’organisation Harnack / Schulze-Boysen coopéra avec les bureaux des renseignements soviétiques de Paris et Bruxelles, sans que ses membres deviennent pour autant des agents soviétiques et perdent leur indépendance, comme les autorités nazies l’ont prétendu par la suite. La Gestapo nomma ce groupe de résistance L’Orchestre Rouge ("die Rote Kapelle").
 

Le groupe de Herbert et Marianne Baum
Herbert Baum et sa femme Marianne, qui luttaient depuis 1933 au sein des jeunesses communistes, fondèrent en 1938-39 un groupe de résistance, dont les membres, des adolescents juifs proches du communisme, diffusèrent des tracts antifascistes et mirent le feu à une exposition anticommuniste organisée à Berlin dans le cadre de la propagande nazie, Le Paradis soviétique ("Das Sowjetparadies"). Les jeunes gens furent arrêtés en 1942 ; une vingtaine d’entre eux furent exécutés, certains, comme Herbert Baum, se suicidèrent dans leur cellule, et les autres résistants moururent en camp de concentration. Les représailles de la Gestapo ne s’arrêtèrent pas là : 500 juifs berlinois furent déportés en camp de concentration à la suite de cette action.

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Petit commentaire :

Comme tu le dis si bien : 
« Mais vous êtes un faussaire de l’histoire ».

Pour ça là :

« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas mal du sort des français et des juifs, sont devenus les ennemis des allemands.

Il se trouve donc qu’à cette époque, les seuls qui défendaient la France contre l’ennemi étaient les gens de droite ».

Toutes les familles te remercie, la famille Moulin (jean) et toute les familles communistes Française et autres qui ont combattu les nazies et leurs idées, merci pour tes propos internaute, sympa de ta part !

A oui aussi j’avais oublier de cracher sur ta crédibilité comme tu viens si bien de cracher sur ces pauvres combattants mort au combat et leur famille !

Quand tu dis ça :

« Ce n’est qu’en 1942 que les cocos, toujours alignés sur Staline et se fichant pas mal du sort des français et des juifs, sont devenus les ennemis des allemands »

Comme t’as du constater ta connerie avoir pris acte des lectures que je viens de t’apporter, tu sais ça : « Ce n’est qu’en 1942 que les cocos sont devenu les ennemis des Allemands », alors déjà on ne dit pas les allemands mais les nazies ou les pourries si tu préfères, et oui t’as vue les noms (photos) des camarades communistes Allemand ci-dessus qui sont morts contre les nazies comme quoi tout les Allemands n’était pas des pourritures de nazies !

Et puis ça aussi : je la reprends ta phrase : « Ce n’est qu’en 1942 que les cocos sont devenues les ennemis des Allemands »
 
Guy Môquet, né à Paris le 26 avril 1924 et mort le , 22 octobre 1941 est un militant , communiste célèbre pour être le plus jeune des vingt-sept otages du camp de châteaubriant (Loire inférieur), fusillés en ]représailles après la mort de Karl hotz. Il est passé dans l’histoire comme un des symboles de la Résistance Française .

Comme tu le dis c’est vrai que les communistes ne sont devenus ennemi des nazies qu’en 1942, sauf que le pauvre guy Môquet et mort le 22 octobre 1941 !

On te remercie par la même occasion pour lui d’avoir dit haut et fort ce que tout nous a dit :

Et après ça vient dire aux autres qu’ils sont des faussaires de l’histoire en blasphémant sur tout ces pauvres combattants, mort ou vivant nos pauvres combattants qui se sont battus pour leur liberté, celle des autres et la notre, une honte ! Une honte !!! Honte à toi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


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