Commentaire de Paul Cosquer
sur Les quarante ans de Woodstock, entre mythe et réalité
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Sociologue aussi à mes heures (on va dire ça : un poète c’est multi cartes), nous sommes passés du pouvoir des fleurs et de la musique (du hippie send love, en quelque sorte) au « no future » puis au « no life » (virtuel) et bientôt pourquoi pas au « no life at all » voire au « totally dead ». Brrr !
« All you need is love » : comme c’est loin !
Derniers commentaires
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18/07 22:56 - Marcel Chapoutier
Ce qui nous rassure c’est que toi tu l’as " une perception plus élevée de (...)
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13/07 09:35 - Bois-Guisbert
450 000 jeunes se sont mis en route vers autre chose que le simple quotidien, en cherchant à (...)
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12/07 19:44 - Marcel Chapoutier
Le festival de Woodstock, dont c’est les quarante ans, était beaucoup plus qu’un (...)
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12/07 09:02 - Eric Donfu
@Fred. Tout ’abord, je suis intervenu sur la FAq du site pour que l’inégralité de (...)
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12/07 01:21 - fred
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12/07 01:17 - fred
Très bien écrit cet article qui ne mange pas de pain... Mais qu’est-ce qu’un mec (...)
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