« Quand « ils » arriveront Manu Militari dans les maisons pour vacciner
de force, nous aurons l’air malin dans nos petites chemises de nuit en
soie... »
Il ne faut pas flipper comme ça ! une vaccination est un « acte médical » qui doit être consenti par le patient (code de déontologie), ce n’est tout de même pas le viol de l’intégrité physique. Si vous n’êtes pas « consentant », vous ne serez pas vaccinés et c’est tout. L’obligation ne porte « légalement » que sur le fait de recevoir « une offre de vaccinations » avec tous les détails (risques, effets secondaires éventuels ... ). C’est de s’y soustraire qui est répréhensible. Mais libre à vous après, dans « le confidentiel médical », de l’accepter ou non.
En fait la liberté vaccinale existe depuis toujours à côté du « obligatoire » (déontologie médicale oblige), mais elle est inscrite en filigrane si peu visible que beaucoup de gens l’ignorent.
L’aspect pandémie ne change absolument rien à la déontologie médicale. Cela a été confirmé récemment par le Comité consultatif national d’éthique (Avis 106 du CCNE).
Il ne faut pas confondre personnels de santé ( médecins, infirmier(e)s, ...) avec des forces de l’État, ni les prendre pour des délateurs patentés au service de l’administration. Le dossier médical est confidentiel, jusqu’à preuve du contraire. Et puis il y a bon nombre de médecins qui ne sont même pas eux-mêmes vaccinés (j’en connais une bonne brochette), et qui ne sont pas des fans du tout de vaccination systématique.