Au delà de la figure charismatique d’Oblabla qui ferait un super acteur de grosse production holywoodienne, la réalité est tenace et les américains se réveillent chaque matin en constatant qu’ils n’ont pas « cauchemardé », leur pays part en kouille et leur président ne fait que reconduire la politique désastreuse de ses prédécesseurs.
Si votre propos est de nuancer la venimosité du poison présidentiel en procédant à des comparaisons avec le tétard qui vient de prendre la porte de sortie la queue entre les jambes, je vous concède qu’il y a plus d’espoir avec Oblabla, mais on attend toujours la rupture...
Donc rendons à Obama ce qui est à Obama :
Face à cette volonté de faire des économies sur les dépenses de santé, rappelons-nous qu’à Nuremberg, la « fourniture inadéquate de soins médicaux et chirurgicaux » a été désignée parmi les causes « des meurtres et mauvais traitements sur les populations civiles » ;
et c’est exactement ce que s’apprêtent à faire les conseillers d’Obama,
avec à leur tête Larry Summers, Tim Geithner et le directeur du Budget,
Peter Orszag.
Comme Lyndon LaRouche l’a déclaré sans équivoque : « Le programme d’Hitler a été ressuscité par l’Administration Obama. »
« Ce n’est ni une digression ; ni une
interprétation. Leur politique de santé est la copie conforme de la
philosophie nazie. Vous ne pouvez pas l’ignorer. Nous le savons depuis
Hermann Goering dans les années 1920, et leurs liens internationaux,
notamment avec Wall Street. Nous étions prévenus et nous devons agir en
conséquence. Ceux qui tolèrent ce genre de politiques sont des
criminels, soit parce qu’ils savaient, soit parce qu’ils auraient dû
savoir ce qu’ils faisaient. »