@ alors si je vous comprend bien, votre intérêt est d’aller chercher le « profil » de l’homme derrière son article et son pseudo avec une batterie de certitudes qui se veulent d’autorité et des phrases du genre « vous êtes » , sans pour autant allez souvent jusqu’au « donc », mais si je suis votre raisonnement, un article soumis a une personalité sans objectivité scientifique est facteur d’erreur fondamentale.
Et vous avez raison, seulement ici nous ne sommes pas en train de chicaner une publi scientifique qui s’affirme comme vrai, je ne fais que prétendre donner un point de vue critique dans un espace citoyen, avec des concepts creux et mon esprit de banlieusard sous culturé mais bien gazé parce que le shit rend parano c’est bien connu.
pour chicaner le bout de gras sur le serial killer, je vous rappel que son succès en tant que personage littéraire, et non son existence, date des années 80 ( dragon rouge 81,le silence des agneaux 88), et que tout bonne historien de la littérature vous expliquera mieux quemoi qu’il y a une adéquation temporelle entre l’esprit d’un peuple ou d’une civilisation et les « personas » qu’elle promeut ou relègue au second plan de sa littérature, culture, etc.. Le premier film « interdit » a faire entrer ce persona dans la presse cinéma/ K7 vidéo avec un succès « d’estime » étant « Henry, portrait of a serial killer », accessible à la location fin 80 en France,
munie de ces quelques précisions, et si je remet en perspective ma phrase :
« Des nouveaux repères de prédation émergent dans le paysage culturel. Le « prédateur compulsif » sérial killer rentre dans le paysage narratif et la « proie à fantasmes porno » se fait star sur Canal. »
on constate que je ne fais que souligner, finalement, la hausse de l’entensité de la promotion de l’instinct de prédation, à coup d’exemples environnementaux, pendant cette décénnie.
Ensuite, au cas où vous ne l’auriez jamais remarqué, il y a autour de vous, depuis votre plus tendre enfance, des gens dont les décisions ont eut une influence sur le cour de votre vie, et d’une certaine manière, bien que ce soit de moins en moins à la mode, on peut, du moins il parait en théorie, et de façon circonstancié, estimer les décideurs responsables.
Un autre aspect étonnant des gens qui vous entourent c’est qu’il est rare qu’une personne consciente décide contre son intérêt, ou du moins sa perception de son intérêt, et il en parfois de même pour les groupes, structures, organisations humaines et autres personnes morales.
mais si par malheur vous considérez mes 2 dernières assertions comme vrais, alors vous tomberez forcément un jour sur quelqu’un qui vous expliquera que pensez, dire ou écrire comme vous, c’est de la paranoîa.
Aussi, si vous chercher un paranoiaque, je suis votre homme finalement, et passons a autres choses :)) comme les années 90 de mon prochain article.
amicalement, barbouse