@ Barbouse & Lucien
On sait depuis Hegel que le fond, c’est la forme. Le fond, c’est la pensée, l’écriture, c’est la pensée : on écrit comme on pense. Tricher est possible mais je vous crois sincère. Remarquez que je ne critique pas la grammaire ou l’orthographe de vos écrits, juste le sens. Vous ne maîtrisez pas encore le sens car vous il vous manque des connaissances : vous raisonnez au delà des limites de votre savoir.
Vos articles et commentaires sont hermétiques, abscons, et ne le méritent pas. Cachés sous ces buissons d’épines se trouvent des idées simples, soit fausses, soit évidentes : c’est pourquoi je critique peu le fond. Le développement intellectuel personnel passe par redécouvrir l’eau tiède, aucune faute là-dessous. Permettez-moi de ne pas m’en extasier comme vous et de préférer poursuivre mes intérêts présents, tel capitalisme & schizophrénie, d’où découle paranoïa, théories du complots et marketing de la peur - j’avoue que la prolongation de mon entretien n’avait d’autre raison d’être. Bien à vous et sans rancune.
PS @ Barbouse
Pourquoi une vingtaine de lecteurs ont répondus à votre précédent article et seulement trois pour celui-ci ? Peut-être car vous êtes resté sourd aux critiques formelles, de Gül entre autres, critiques adressées non au français mais au sens, à la logique, à la clarté.
Mes doutes sur vos confidences - car j’en avais, nous sommes sur internet - s’envolent. N’ayant pas votre sincérité, j’en aurais plus dit en privé, ici juste que réfléchir trop ne sert à rien si on ne se détend pas autant. C’est ce que j’ai retenu d’une correspondance par mail avec un petit candidat à la présidence de 2007 qui, bien que scientifique qualifié et petit génie ayant redécouvert la relativité générale à 16 ans, déniait sa schizophrénie certifiée et avait construit un programme scientiste aberrant. Le lièvre avait prit un bon départ mais s’était trompé de route ; en allant plus lentement on risque moins de se perdre. Pour moi vous allez à bonne allure mais croyez prendre des raccourcis qui vous allongent. Demander votre chemin, par exemple à Dostoïevski : ses livres possèdent un sens contagieux.