Arturh : quelle incroyable mauvaise foi.
Quant aux « antilibéraux », qui veulent un régime autoritaire comme
tous les « régimes antlibéraux » de la planète,
Amalgame, argument tendancieux, fait auto-proclamé : de la pure propagande.
ils sont tellement
minoritaires, qu’ils n’ont aucune chance de pouvoir de servir de
l’actuelle « crise de 1929 » comme il ont pû se servir de la précédente
pour accéder au pouvoir en Europe.
C’est vous qui parlez au passé et êtes rigidifié dans de vieux schémas.
Parce que la mémoire des précédents
mouvements « sociaux » et « anticapitalistes » d’avant guerre est
encore bien présente en Europe, notamment avec les « Ex pays de
l’Est », pour qu’ils puissent espérer parvenir au pouvoir.
Le socialisme est une idée récente. L’amalguamer systématiquement au seul communisme est une pratique de propagande digne des pires désinformations des dictatures à destination d’idiots sans cervelle.
Et le
coup du « oui, mais nous, c’est pas pareil, cette fois, ça va
marcher », ne peut convaincre qu’une petite minorité de conservateurs
de gauche ou de droite nostalgiques...
Peu de choses ont été tentées au niveau d’un mode de gouvernement hors capitalisme et hors d’une société hiérarchisée où des chefs s’approprient le pouvoir.
Les pouvoirs en place veillent et leur bras armé, les médias, font ce qu’ils peuvent pour décridibiliser toute tentative de réflexion.
Un levier de propagande souvent utilisé est d’asséner et de répéter que toute personne remettant en cause le systeme libéral est un conservateur nostalgique.
Ca permet de diviser le monde en deux : les conservateurs nostalgiques et les gens « modernes » qui approuvent le modele en place, qui permet aux élites financieres de s’enrichir un max.
Peu importe que ce systeme soit pourri jusqu’à la moelle, anti-social, pronant des valeurs aussi rétrogrades que l’individualisme, la recherche forcenée du profit, la consommation à outrance, le veau d’or du fric roi.
Ce n’est pas le moindre « exploit » des médias, et de leurs maitres, les gros financiers, que d’avoir réussi à vendre un système aussi cynique et aussi éloigné de tout idéal humaniste.
Des gens affamés de solutions simplistes comme arturh le reprennent à leur compte, pas parce que c’est un bon systeme, mais parce qu’ils ont peur de toute forme d’organisation collective, qui rencontrerait leur peur des autres et donc d’eux-mêmes.
Il vaut mieux un systeme promu par des chefs, et donc tellement rassurant, quel que soit sa nocivité.