@ moristovari
je rejoind lucien dans son « finalement je vous aime bien », et détrompez vous, je ne vous méprise pas, je vous trouve assez représentatif du besoin de certaines science confuse de s’affirmer comme bonne et vrai tout en obligeant ceux qui les épousent a considérer l’autre comme cobaye pour avaliser ou réfuter des présupposés conceptualisés.
D’une certaine manière, je vous considère jucher sur une montagne de vide réthorique tout autant que vous faites de même a mon égard, et c’est plutôt désolant.
« Ecrire c’est donner à penser » disait Montesquieu, et pour ce qui concerne nos échanges sur ce forum, ce que je constate surtout c’est que vous comparez la prose d’ici a des auteurs référents, capables avec peu de mots d’être explicite et de donner à penser, voir de donner a aimer penser, bien au delà du simple empillement de signifiants.
mais encore une fois, vous n’avez pas l’air de comprendre que si on utilise un langage trop technique, trop précieux ou trop abstrait, on sort des racines platoniciennes de l’esprit de l’agora pour exclure au nom de la hauteur de pensée et d’esprit, ceux qui déjà en ont marre de lire sur un écran un article trop long aux mots qui sortent trop du vocabulaire courant.
Ce n’est pas le lieu, ni l’intérêt intrasèque d’échange de point de vue sur ce forum quand la somme des pièges du langage dépasse le seuil d’effort de compréhension mutuel dans une journée où des efforts, on en a bien d’autres a faire prioritairement.
vous savez ma suite d’article peu presque se résumer a une seule opinion, une population à l’instinct de prédation dérégulée fini par s’entre dévorer au point de générer une dictature pour sa survie et une guerre pour s’assouvir.
Tout comme shizophrénie et capitalisme peut s’expliquer comme ça :
« l’attention liminale occluse majoritairement entre la conscience du besoin et du désir génère la perception exclusive d’un soi en quête d’innassouvie, refoulant l’ensemble des stimulis amenant à la conscience d’un soi sans avoir, et par la même la conscience d’être au delà de ce qui est perceptible par les 5 sens, ce qui fragilise et fracture l’accès à l’usage de la cognition sur les objets perceptibles uniquement par la pensée.
L’être pensant se confond cycliquement avec les sens et la sensation d’avoir donc d’exister et la sensation de manque donc d’inexister, rendant plus difficile la synthèse identitaire d’un soi admis et complet tout en augmentant la violence des tentatives d’affirmation d’une idée de soi fragmentée et souffrant d’incomplétude »
voilà comment on peut écrire en quelque lignes le lien entre capitalisme et shizophrénie. Cela n’a rien de bien neuf sous le soleil.
amicalement, barbouse.