Votre article purement négatif, ne dit pas si être de gauche aujourd’hui, c’est seulement, dans un cadre national ou international (?), refuser la propriété privée des moyens de production au profit ou non de celle d’un l’état baptisé dictature du prolétariat et si le socialisme qui serait le vôtre admet ou non les libertés démocratiques fondamentales, y compris celle d’entreprendre sur le plan économique dans un cadre socialement et politiquement régulé (et lequel ?), ce qui est la position de tous les partis sociaux-démocrates dans le monde.
Si ce n’est pas l’état qui administre, au nom de la classe ouvrière et de son parti unique supposée révolutionnaires, la relation entre l’offre et la demande et qui donc cumule le pouvoir économique, idéologique et politique et non pas le marché qui suppose la propriété des moyens de productions et d’échange, qui doit le faire et comment ?
Il m’est impossible de discuter d’une position qui ne tire pas le bilan des causes de l’échec désastreux pour les libertés fondamentales et la démocratie de toutes les tentatives d’économies administrées directement par l’état et surtout qui ne dit pas ou n’ose pas dire ce qu’elle veut pour échapper à la dictature du capital financier ultra c’est à dire anti-libérale d’un côté et à celle des régimes totalitaires dits de gauche de l’autre !