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Commentaire de njama

sur Grippe porcine et fonds de pension !


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njama njama 19 juillet 2009 10:31

Une chose est sûre, c’est que la vaccination est une contamination ( de masse si elle est généralisée), c’est le principe même de la vaccination d’inoculer l’agent pathogène (même s’il est dit « atténué »).

Parmi les différentes controverses existantes sur la vaccination, il en est une historique qui mériterait d’être approfondie.
La grippe de 1918 (dite « espagnole ») passe dans l’esprit populaire pour avoir été un fléau naturel , car c’est ainsi qu’on nous la présente, il ne faut surtout pas toucher au mythe du bon Pasteur , héros national, et aux bienfaits « indiscutables » de la pasteurisation pour tous, panacée universelle qui viendrait enfin !!!!! à bout de toutes les maladies. Il est vrai que dans cette révolution pasteurienne, les vaccinations vont bon train partout dans le monde, et que cette médecine se met au service de l’expansion coloniale (création du Service de santé des Troupes coloniales en juillet 1900 - La médecine coloniale )

Hors, en marge de ces récits qui tiennent plus de l’hagiographie que de travaux d’historiens sur les bienfaits réels de la vaccination, des témoignages comme celui d’ Eleanor McBean « J’ai été témoin de l’épidémie de grippe de 1918 » , ou d’autres de canadiens qui disent que la contamination a démarré chez eux avec le retour des soldats de Vimy, semblent à contrario indiquer qu’elle fût le fait de l’homme ... par effets malheureux des vaccins données aux soldats.
Voir aussi > Extrait du livre « Exposition à la grippe porcine » (1977) Eleanor McBean, Ph.D., N.D. Traduit en français par Jacques H

On pourra s’étonner à juste titre que lorsque l’on cherche à se documenter un tant soit peu sur cette grippe de 1918, le nombre des victimes suivant les sources varie de 20 millions à 100 millions ! le mythe du fléau se construit ...
Avec autant de victimes, les documents d’archives militaires et sanitaires ne doivent certainement pas manquer, et la matière doit être abondante pour mener des recherches d’historiens et voir si la propagation de la maladie n’a pas suivi de près les mouvements des armées.


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